Générique technique

Réalisateur	Jean Boyer
Assistant réalisateur	Jean Bastia
Assistant réalisateur	Robert Guez
Scénariste	Gérard Carlier
Adaptateur	Jean Boyer
Adaptateur	Jean Manse
Dialoguiste	Serge Véber
Société de production	Cité-Films (Paris)
Société de production	CIPRA - Compagnie Internationale de Productions et Réalisations Artistiques (Paris)
Société de production	C.T.I. - Cinéma Télévision International (Paris)
Producteur	Jacques Bar
Directeur de production	Walter Rupp
Distributeur d'origine	Cinédis
Directeur de la photographie	Charles Suin
Cadreur	Marcel Franchi
Ingénieur du son	Pierre Calvet
Compositeur de la musique originale	Paul Misraki
Décorateur	Robert Giordani
Costumier	Marcel Escoffier
Costumier	Pierre Cardin
Maquilleur	Boris Karabanoff
Coiffeur	Simone Knapp
Monteur	Christian Gaudin
Script	Cécilia Malbois
Régisseur	André Guillot
Photographe de plateau	Gaston Thonnart

générique artistique

Fernandel	(Fernand Vignard)
Suzy Delair	(Adrienne Vignard)
Françoise Fabian	(Sophie)
Alfred Pasquali	(Picraphos)
Robert Destain	(Jean-Claude Zwertas)
Robert Pizani	(le baron d'Ecreville)
Georges Chamarat	(Maître Plaisant, le notaire)
André Bervil	(Apollini)
Gaston Orbal	(le comte de Treignac)
Robert Lombard	(Bornheim)
Raymond Bour	(Edouard Bodunet)
Florence Arnaud	(Hélène Bodunet)
Manuel Gary	(Clément)
Ginette Pigeon	(Claudie)
Laure Paillette	(Marianne, la bonne)
Colette Mareuil	(la cliente snob)
Jacques Mancier	(le commissaire)
Gina Manès	(une dame à la présentation de mode)
Dany Cintra	(une midinette)
Nicole Fabrice	(une midinette)
Claude Ivry	(une midinette)
Claude Albers	(une midinette)
Colette Sers	(une midinette)
Claude Mauduy	(une midinette)
Joëlle Robin	(une midinette)
Valérie Vivin	(une midinette)
Nicky Voillard	(un mannequin)
Colette Ricard	(un mannequin)
Annick Brunet	(un mannequin)
Brigitte Segui de Carreras	(un mannequin)
Corinne San Juan	(un mannequin)
Jenny Astruc	(un mannequin)
Liliane David	(un mannequin)
Christine Bally
Janine Clairville
Colette Jero
Jeanne Montangé
Maggy Sarragne
Paulette Simonin
Clara Tambour

Bibliographie

Périodiques

• Cinématographie Française (La), n° 1667, 28 avril 1956
• Cinémonde, n° 1125, 1er mars 1956
• Cinémonde, n° 1131, 12 avril 1956
• Ciné-Révélation, n° 099, 23 février 1956
• Ciné-Révélation, n° 108, 26 avril 1956
• Ciné-Revue, n° 09, 2 mars 1956
• Ciné-Revue, n° 15, 13 avril 1956
• Daily Film Renter, n° 7225, 3 octobre 1956
• Ecrans de France, n° 161, juin 1956
• Fiches du Cinéma (Les), n° 112, 15 mai 1956
• Film Français (Le), n° 600, 9 décembre 1955
• Film Français (Le), n° 608, 3 février 1956
• Film Français (Le), n° 626, 25 mai 1956
• Kinematograph Weekly, n° 2565, 11 octobre 1956
• Mon Film, n° 524, 5 septembre 1956
• Monthly Film Bulletin, vol. 23, n° 264, janvier 1956
• Technicien du Film (Le), n° 15, mars 1956
• Today's Cinema, vol. 87, n° 7621, 3 octobre 1956
• Variety, 2 mai 1956

Synopsis

Fernand, coupeur chez un tailleur pour hommes, a bien envie de plonger ses ciseaux dans la mousseline, surtout qu'il a un penchant très vif pour le beau sexe. Son épouse qui tient un petit commerce de couturière, le surveille assez jalousement. Renvoyé par son patron, Fernand fait le malade imaginaire pour ne pas l'avouer à sa femme. Entre temps il est convoqué par un notaire qui lui apprend qu'il vient d'hériter de 510 parts d'actions dans une maison de couture qui périclite. La donatrice est une originale Sud-Américaine que Fernand a connu un soir de fête. Il dit seulement à sa femme qu'il a hérité d'un cendrier et à partir de ce moment mène une double vie. Il s'entend avec son ancien patron pour faire croire à sa femme qu'il est toujours employé chez lui et, malgré le déplaisir de ses deux associés qui auraient voulu vendre la Maison de couture, il prépare fébrilement une extravagante collection avec l'aide de tout le personnel, des petites mains aux mannequins. Vient le jour de la présentation. C'est un triomphe. Adrienne, l'épouse qui a réussi à savoir où est passé son mari, arrive au beau milieu du défilé. Furieuse de ce que Fernand s'occupe beaucoup trop d'un joli mannequin, elle fait une scène qui passe pour un numéro burlesque aux yeux de la clientèle qui s'en réjouit et applaudit. Les carnets de commande se remplissent. La Maison est renflouée et le ménage raccommodé, après pourtant encore une chaude alerte.
© Les fiches du cinéma 2001