La Terreur des dames (1956) Jean Boyer

Pays de productionFrance
Sortie en France23 novembre 1956
Procédé image35 mm - NB
Durée93 mn
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Générique technique

RéalisateurJean Boyer
Assistant réalisateurJean Bastia
Auteur de l'oeuvre originaleGuy de Maupassantd'après la nouvelle "Ce cochon de Morin"
AdaptateurRené Barjavel
AdaptateurRaymond Castans
DialoguisteRené Barjavel
DialoguisteRaymond Castans
Société de production C.M.F. - Compagnie Méditerranéenne de Films
Société de production Eminente Films
ProducteurJean Martinetti
ProducteurFrédéric Heldt
Directeur de productionJoseph Martinetti
Directeur de la photographieCharles Suin
CadreurMarcel Franchi
Ingénieur du sonMarcel Royné
Compositeur de la musique originaleRené Sylviano
DécorateurRobert Giordani
MaquilleurPaul Ralph
MonteurChristian Gaudin
ScriptCécilia Malbois
RégisseurAndré Guillot
Photographe de plateauRaymond Bègue

générique artistique

Noël-Noël(Aimé Morin)
Jacqueline Gauthier(Henriette Bonnel)
Yves Robert(Labarge)
Jacqueline Pagnol(Louisette)
Noël Roquevert(Bonnel)
Jean Poiret(un gendarme)
Michel Serrault(un gendarme)
Fernand Sardou(le commissaire)
Suzet Maïs(Madame Genlis)
Jacques Ary
Paul Bonifas
René Bourbon
Dany Cintra
Henri Crémieux
André Dalibert
Robert Destain
Luce Fabiole
Gib Grossac
Christian Lude
Nina Myral
Joëlle Robin
Hélène Tossy
Françoise Valléry

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Aimé Morin, brave et honnête libraire de province, candidat aux élections et fiancé à Mme Genlis qui n'en veut qu'à son argent, est, au cours d'un voyage à Paris, victime des machinations du journaliste Labarge, ami de ses adversaires politiques, qui l'entraîne dans une boîte de nuit spécialisée dans le strip-tease. Le spectacle auquel il assiste et le champagne font qu'au petit matin il est passablement gris lorsqu'il reprend son train, chargé d'emplettes hétéroclites pour un grand nombre de ses concitoyens. Dans son compartiment, il est seul en compagnie d'une charmante jeune femme, qui a chaud et enlève sa veste, il n'en faut pas plus pour que Morin, obsédé par le spectacle de la veille et encore sous l'effet de l'ivresse, tente inopinément d'embrasser la jeune dame qui tire aussitôt la sonnette d'alarme. Morin est remis aux gendarmes en présence de « sa victime ». Son cas est aggravé par le fait que dans sa valise on trouve des objets « suspects » (soutiens-gorge, etc.) et on l'accuse de vilaines moeurs. Il rentre chez lui déshonoré et accablé. Sa fiancée le somme d'arranger l'affaire. Morin s'arme de courage pour affronter Bonnel, le terrible mari de la dame outragée. Il se présente à son hôtel comme client, se réservant de s'expliquer dès qu'une occasion se présentera. En attendant il se réfugie dans sa chambre où une gentille jeune fille, Louisette, nièce de l'hôtelier, vient lui servir ses repas. Ce client timide lui est sympathique. Elle ne se doute pas qu'il est le « satyre » dont tout le village parle. Labarge, ayant fait la connaissance de Mme Bonnel et qui s'entend si bien avec elle permet involontairement à Morin, qui a repris un peu d'assurance, de menacer avec l'aide de Louisette Mme Bonnel en portant à la connaissance de son mari ses agissements avec Labarge si elle ne se désiste pas de sa plainte en justice. Ce qu'elle fait, non sans essayer de jouer encore quelques vilains tours à Morin. Morin, libéré de tous ses soucis, abandonnera la politique et sa fiancée pour aller vers le bonheur paisible en compagnie de Louisette.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 18 juin 1956
Fin : 11 août 1956