Les Vignes du seigneur (1958) Jean Boyer

Pays de productionFrance
Sortie en France24 décembre 1958
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Générique technique

RéalisateurJean Boyer
Auteur de l'oeuvre originaleRobert de Flers
Auteur de l'oeuvre originaleFrancis de Croisset
DialoguisteSerge Véber
Société de production Fides - Fiduciaire d'Éditions de Films (Paris)
Société de production Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord
Société de production Régis Films
Directeur de productionWalter Rupp
Directeur de la photographieCharles Suin
Ingénieur du sonPierre-Henri Goumy
Compositeur de la musique originaleFred Freed
DécorateurRobert Giordani
MonteurJacqueline Brachet

générique artistique

Fernandel(Henri Lévrier)
Béatrice Bretty(Mme Bourgeon)
Pierre Dux(Hubert)
Simone Valère(Gisèle)
Michel Garland(Jack)
Evelyne Dandry(Yvonne)
Lona Rita(Lulu)
Mag-Avril(la Générale)
Jeanne Fusier-Gir(Tante Aline)
Charles Lemontier(un invité)
Charles Bouillaud(le majordorme)
Bernard Musson(l'extra)

Bibliographie

Synopsis

Gisèle est depuis dix ans la maîtresse du Comte Hubert de Kardec. Mme Bourjeon, la mère de Gisèle et tante Aline vivent avec le couple. Une autre fille, Yvonne, née d'un autre père et élevée en Angleterre, rentre à Paris ses études terminées. Elle arrive accompagnée d'un jeune Anglais qui ne comprend pas un mot de français. Il ne manque plus que « l'ami de la famille ». Henri Lévrier, absent depuis dix-huit mois, revient enfin auprès de ses amis et la joie est complète. Henri apporte une nouvelle étonnante : il ne boit plus. Personne ne croit beaucoup à sa nouvelle sobriété ; pourtant, si c'était vrai, ce serait un très bon parti pour Yvonne. On reprend les vieilles habitudes. Henri accompagne Gisèle dans les grands magasins. Un jour, il lui avoue la raison qui l'avait conduit à boire : l'amour. L'amour pour Gisèle. Et de confidence en confidence, ils finissent par se rendre compte qu'ils ont perdu un temps précieux, négligé un bonheur dont ils vont s'empresser, maintenant, de profiter. Henri et Gisèle filent le parfait amour. Un jour, Henri s'enivre et, soudain pris d'une crise de tendresse pour son ami Hubert, lui confesse son chagrin de se savoir « cocu » et que ce soit lui, Henri, qui le fasse « cocu ». Une scène éclate entre Henri et Gisèle au secours de qui arrivent aussitôt tante Aline et Mme Bourjeon. Les trois femmes s'indignent des soupçons d'Hubert, soupçons fondés sur des propos d'ivrogne. Et quand Henri reparaît à la villa, Hubert doute déjà de la vérité de ses confidences. Il se laissera duper d'autant plus facilement qu'une fausse maîtresse, engagée par Henri pour écarter les soupçons de son ami, arrive à ce moment pour confirmer son système de défense. Hubert se décide à épouser Gisèle. Yvonne épousera le jeune Anglais. Henri restera leur ami à tous.
© Les fiches du cinéma 2001
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