Générique technique

Réalisateur	Marcel Carné
Assistant réalisateur	Jacques Corbel
Scénariste	Marcel Carné
Scénariste	Jacques Sigurd
Auteur de l'oeuvre originale	Albert Simonin	d'après le roman "Du mouron pour les petits oiseaux"
Dialoguiste	Jacques Sigurd
Société de production	Champs-Elysées Productions (Paris)
Société de production	C.I.C.C. - Compagnie Industrielle et Commerciale Cinématographique
Société de production	Films Borderie
Société de production	Variety Film (Roma)
Producteur	Raymond Borderie
Producteur	Jules Borkon
Directeur de production	Pierre Laurent
Distributeur d'origine	Prodis
Directeur de la photographie	Jacques Natteau
Cadreur	Gilbert Chain
Ingénieur du son	William Robert Sivel
Compositeur de la musique originale	Georges Garvarentz
Compositeur de la musique originale	Charles Aznavour
Décorateur	Jacques Saulnier
Costumier	Antoine Mayo
Costumier	Azzedine Alaia	pour Dany Saval
Maquilleur	Louis Bonnemaison
Monteur	Albert Jurgenson
Script	Colette Robin
Régisseur	Margot Capelier
Photographe de plateau	Walter Limot

générique artistique

Paul Meurisse	(Armand)
Dany Saval	(Lucie)
Suzy Delair	(Antoinette)
Jean Richard	(Louis)
Franco Citti	(Renato)
Suzanne Gabriello	(Madame Communal)
Roland Lesaffre	(Monsieur Clec)
Jeanne Fusier-Gir	(Mademoiselle Le Pain)
Dany Logan	(Jojo)
Jean Parédès	(Monsieur de Fleurville)
Robert Dalban	(l'inspecteur)
Pierre Duncan	(Victor)
Joëlle Bernard	(Gladys)
Dominique Davray	(Gaby)
France Anglade	(la serveuse)
Alfonso Mathis	(le barman)
Jean-Marie Proslier	(le coiffeur)
Pierre Mirat	(le patron du café)
Pierre Collet	(le consommateur au café)
Sophie Destrade	(l'amie d'Armand)
Corrado Guarducci	(le restaurateur)
Paul Faivre	(l'oiselier)
Masako Satô	(la geisha)
Louisette Rousseau	(la locataire enceinte)
Jean-Pierre Zola	(le caissier de la banque)
Béatrice Calvo	(la twisteuse)
Bibi Morat	(le gamin)
Charles Bayard	(un passant)
Sabine André

Bibliographie

Ouvrages

• La vie à belles dents : souvenirs / Marcel Carné. - Paris : J.P. Ollivier, 1975

Périodiques

• Cahiers du cinéma (Les), n° 142, avril 1963
• Cinéma 63, n° 75, avril 1963
• Cinématographie Française (La), n° 2004, 23 février 1963
• Cinémonde, n° 1467, 18 septembre 1962
• Cinémonde, n° 1473, 30 octobre 1962
• Cinémonde, n° 1482, janvier 1963
• Cinémonde, n° 1489, 19 février 1963
• Ciné-Revue, n° 40, 27 septembre 1962
• Film Français (Le), n° 963, 16 novembre 1962
• Film Français (Le), n° 978, 22 février 1963
• Télé-Ciné, n° 110, avril 1963
• Unifrance Film - La Production Cinématographique Française, n° 39, janvier 1963
• Variety, 27 février 1963

Synopsis

Dans le pittoresque immeuble de Monsieur Armand, ancien truand devenu un respectable propriétaire, l'alerte concierge ne chôme pas. Comme le signale l'éternelle pancarte indicatrice, apposée sur sa porte, elle est au service de tous. Tous, ce sont, évidemment, les locataires, qui poursuivent chacun leur intérêt (très personnel) et souvent opposé à celui du voisin. Il y a Mademoiselle Lucie, entraîneuse de boîte de nuit qui, pour offrir une voiture à son amant napolitain, va se vendre au boucher du dessous, lequel a d'ailleurs été délesté, auparavant, de son portefeuille par sa propre épouse ; cette dernière, avec une partie de la somme prélevée, fait un joli cadeau à Jojo, le très jeune commis, son amant. La mort d'une vieille aristocrate amène la police dans la maison. Monsieur Armand, ancien « client », ne tient pas à rester dans les lieux, d'autant plus qu'il craint le retour d'un complice auquel il a soustrait sa part de butin volé. Monsieur Armand achète donc la voiture que convoitait Lucie et s'enfuit avec elle vers la côte d'Azur. Mais Lucie a préparé son coup. A une station-service, elle plante là Monsieur Armand et part seule avec la voiture. en ignorant que le magot, qu'elle croyait encore caché dans une boîte de friandises, se trouve en réalité dans la vieille mallette à disques, que, bagage encombrant, elle jette dans une rivière.
© Les fiches du cinéma 2001