Les Godelureaux (1960) Claude Chabrol

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France17 mars 1961
Procédé image35 mm - NB
Durée99 mn
DistributeurTamasa Distribution (source : ADRC)
>> Rechercher "Les Godelureaux" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurClaude Chabrol
ScénaristePaul Gégauff
Auteur de l'oeuvre originaleÉric Ollivier
DialoguistePaul Gégauff
Société de production International Productions
Société de production Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord
Société de production Spa Cinematografica (Roma)
ProducteurRaymond Hakim
ProducteurRobert Hakim
Directeur de productionAndré Hoss
Distributeur d'origine Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord
Directeur de la photographieJean Rabier
Ingénieur du sonJean-Claude Marchetti
Compositeur de la musique originaleMaurice Leroux
DécorateurGeorges Glon
MonteurJames Cuenet
ScriptAurore Paquiss

générique artistique

Jean-Claude Brialy(Ronald)
Charles Belmont(Arthur)
Bernadette Lafont(Ambroisine)
Jean Galland(l'oncle)
Sacha Briquet(le fiancé)
André Jocelyn(le jeune homme)
Parisys(Pimprenette)
Sophie Grimaldi(la fiancée)
Stéphane Audran(Xavière)
Juliette Mayniel(la religieuse)
Jean-Louis Maury(un ecclésiastique)
Albert Dinan(un ecclésiastique)
Corrado Guarducci(le peintre)
Jean Tissier(le président)
Claude Chabrol(un consommateur)
Jean-Michel Rouzière
André Clair
Georges Debot
André Tomas
Dominique Zardi
Henri Attal
Philippe Castelli
Charles Bayard
Laure Paillette
Rudy Lenoir
Gabrielle Doulcet
Pascal Fardoulis
France Asselin
Liliane David
Stella Dassas
Jeanne Pérez
Laura Carli
Bernard Papineau
Jacques Ralf
Fabrizio Capucci
Mario David
Serge Benneteau
Pierre Vernier
Raymond Pélissier
Michel Beaune

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Parce que sa voiture a été montée sur le trottoir devant le café de Flore par la bande d'Arthur, Ronald désire se venger de ce dernier, un étudiant des Beaux Arts sans malice. Ronald joue à l'esthète, intellectuel pur, blasé et cyniquement pervers ; il est fort riche. Vient à passer devant le café de Flore une inconnue, Ambroisine, que les camarades d'Arthur enlèvent et dont ce dernier fait la compagne de ses jours et de ses nuits. Ronald décide de « punir » Arthur par Ambroisine et, pour ce faire, lie amitié avec le couple qu'il entraîne dans des exploits variés ; chez une de ses tantes, Ronald amène Arthur et Ambroisine : il jette celle-ci dans les bras de son cousin, polytechnicien myope, solennel et fiancé ; puis avec Arthur il sabote l'inauguration d'une exposition de peinture en répandant à profusion de la poudre à éternuer ; enfin, chargé d'organiser la partie artistique d'une fête de charité, il y produit une danseuse genre strip-tease et une vieille chanteuse réaliste qui font scandale et lui permettent d'envoyer quelques vérités à la face de l'oncle qui le loge et de ce milieu de nantis, bricoleurs de la bienfaisance. Mais il profile d'une absence d'Arthur pour organiser dans l'appartement une « surboum » dans le style orgie romaine qui laisse les locaux souillés et saccagés. Et il remplace Arthur auprès d'Ambroisine. De retour,Arthur arrange les choses et reprend sa compagnie qui se partage désormais entre les deux godelureaux. Arthur, au fond, ne désire qu'une chose : épouser Ambroisine et un jour, ils jouent tous deux au couple marié ; mais Ambroisinc s'échappe pour retrouver Ronald sur la Côte d'Azur ; quelques jours plus tard, il l'abandonne et, de retour à Paris, met Arthur au courant de sa machination et le console en lui disant qu'Ambroisine n'est qu'un rêve. Un peu plus tard, Arthur retrouvera Ambroisine devenue la femme vertueuse et américanisée d'un officier de la marine U.S. ; mais lui-même est alors fiancé.
© Les fiches du cinéma 2001
Logo

Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : juillet 1960
Fin : octobre 1960

Lieux de tournage