La Coupe à dix francs (1974) Philippe Condroyer

Pays de productionFrance
Sortie en France19 février 1975
Procédé image35 mm - Couleur
Durée100 mn
DistributeurMadadayo Films (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurPhilippe Condroyer
Assistant réalisateurDominique Toussaint
Assistant réalisateurJean Milochevitch
ScénaristePhilippe Condroyer
DialoguistePhilippe Condroyer
Société de production ROC - Réalisations et Organisations Cinématographiques (Paris)
Société de production Paris Cannes Production (Paris)
ProducteurLouis Duchesne
Directeur de productionPatrice Torok
Distributeur d'origine Lugo Films
Directeur de la photographieJean-Jacques Rochut
CadreurGilbert Duhalde
Ingénieur du sonChristian Vallée
MixeurGérard Tilly
Compositeur de la musique originaleAnthony Braxton
Compositeur de la musique originaleAntoine Duhamel
Compositeur de la musique originaleFrançois Mecchiali
MaquilleurChristiane Sauvage
MonteurNéna Baratier
MonteurMarie-Claude Carliez
ScriptGeneviève Dufour
ScriptPascale Héliard
RégisseurYves Ellena
RégisseurCatherine Lapoujade
Photographe de plateauPierre Rigal

générique artistique

Didier Sauvegrain(André)
Roseline Vuillaume(Léone)
Alain Noël(Leroy)
Jean-Pierre Frescaline(Carbonnel)
Benoît Tostain(Roger)
Hervé Lasseron(Marcel)
Marius Balbinot(le père d'André)
François Valorbe(Monsieur Forger)
Jean-François Dupas(le contremaître)
Michel Fortin(Robert)
Marie Mergey(la mère d'André)
Gérard Victor(le concierge de la fabrique)
Gilbert Bahon(le délégué syndical)
Gérard Boucaron(Gros Lulu)
Domergue Regor(le comte)
Amar M'Barek(le coiffeur)
Catherine Lafond(la serveuse du restaurant)
François Viaur(le receveur)
Michel Charrel(le père de Marcel)
Claudine Berg(la mère de Marcel)
Jacques Disses(le brigadier)
Mélanie Dalban(la fille)
Dominique Lavanant(la secrétaire)
Ari Arcadi

Bibliographie

Synopsis

Dans une petite ville de province, les jeunes gens n'ont d'autre alternative que de quitter la région ou s'employer chez Monsieur Forger, le patron d'une importante fabrique de meubles. André et ses copains y travaillent pour n'avoir pas voulu quitter le pays. Entre une visite à ses parents, le café où l'on se réunit, le bal et sa petite amie Léone, André n'a plus le temps de satisfaire sa vraie passion: la peinture. A l'usine, la situation s'envenime de plus en plus. Forger ne veut pas entendre parler de cheveux longs dans son entreprise. C'est contraire à ses principes. Il donne des ordres stricts aux contremaîtres afin que ses directives soient exécutées. André et ses camarades se rebiffent et durcissent leur position. Ils essuient les quolibets, refusent d'obtempérer et sont finalement tous mis à la porte sans ménagement, avec possibilité, toutefois, de réintégrer l'atelier s'ils passent auparavant chez le coiffeur. André en fait une question de principe; il n'admet pas ce chantage. Cédant pourtant aux prières de son père qui se croit déshonoré par cet événement, André abandonne la lutte, se fait couper les cheveux et reprend le travail. Humilié, profondément bouleversé, le jeune homme ne peut surmonter sa peine. Devant l'usine, il s'arrose d'essence et s'immole aux yeux de tous les employés horrifiés.
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
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Exploitation

Tournage

Lieux de tournage