Tire au flanc 62 (1961) Claude de Givray

Pays de productionFrance
Sortie en France20 décembre 1961
DistributeurDiaphana pour MK2 (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurClaude de Givray
Auteur de l'oeuvre originaleAndré Mouezy-Eon
Auteur de l'oeuvre originaleAndré Sylvane
DialoguisteClaude de Givray
DialoguisteFrançois Truffaut
DialoguisteAndré Mouezy-Eon
Société de production SEDIF - Societé d'Exploitation et de Distribution de Films (Paris)
Société de production Auray Films (Paris)
Directeur de productionMarcel Berbert
Directeur de la photographieRaoul Coutard
Compositeur de la musique originaleRicet Barrier
MonteurClaudine Bouché

générique artistique

Christian de Tillière(Jean Lerat de La Grignotière)
Ricet Barrier(Joseph Vidauban)
Jacques Balutin(le caporal)
Serge Davri(le colonel)
Bernadette Lafont(dans son propre rôle)
François Truffaut(le taulard)
Guy Gilles(un soldat)
Anne Augay
Serge Korber
Petit Bobo
Robert Lachenay
Jean-Louis Walmont
Odile Geoffroy
Jean-Max Rivière
Nicolas Rémon
Germaine Risse
Andrée Guize
Annie Lefébure
André Mouezy-Eon

Bibliographie

Synopsis

Jean Lorat de la Grignotière part pour la caserne, accompagné par sa tante, qui l'a chaudement recommandé au colonel de son régiment, un ami de la famille et par sa cousine, à laquelle il est vaguement fiancé ; il n'est saisi par aucun enthousiasme patriotique et regrette le cheval, le golf et tout ce qui faisait jusqu'alors le charmé de sa vie. En même temps que lui, le chauffeur de sa tante, Vidauban, va aussi être incorporé, et la bonne dame verrait très bien le jeune homme conserver en uniforme la position subordonnée qu'il occupait dans le civil par rapport à son neveu : une sorte d'ordonnance du cher neveu seconde classe. En fait, Vidauban s'acclimate d'emblée à la vie de caserne tandis que Jean Lorat en supporte assez mal les servitudes et les tracasseries, promenant sa silhouette inadaptée de la distribution des tenues au coucher sur un lit fait en bascule, en passant par l'exercice et les refus de permission. Ni le colonel, ni le lieutenant ne veulent reconnaître comme de leur monde ce « bleu » empoté. Seule une ébauche de flirt avec la fille du colonel éclaire des jours qu'une vengeance collective à l'égard d'un sous-officier borné n'arrive même pas à rendre moins monotone. Une crise de somnambulisme, au cours d'une bagarre entre chambrées, le conduit droit à la prison. Heureusement, le colonel charge Vidauban d'organiser la fête du régiment et l'ex-chauffeur vient chercher Jean pour jouer avec lui, et la fille du colonel. « Tire au flanc ». L'occasion permet au jeune homme, et de pénétrer les mystères et avantages du système D et d'exercer son talent d'imitateur. La séance est un triomphe, au grand scandale de la chère tante que le nouveau langage et les théories de son militaire bouleversent !
© Les fiches du cinéma 2001
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