Fifi la Plume (1964) Albert Lamorisse

Pays de productionFrance
Sortie en France27 octobre 1965
Procédé image35 mm - NB
Durée80 mn
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Générique technique

RéalisateurAlbert Lamorisse
Assistant réalisateurGuy Saguez
Assistant réalisateurBernard Paul
ScénaristeAlbert Lamorisse
DialoguisteAlbert Lamorisse
Société de production Les Films Montsouris
Directeur de productionJean Velter
Distributeur d'origine Pathé Distribution
Directeur de la photographiePierre Petit
Directeur de la photographieMaurice Fellous
CadreurRené Vernadet
Compositeur de la musique originaleJean-Michel Defaye
DécorateurClaude Lamorisse
DécorateurMisha de Potestad
CostumierClaude Lamorisse
CostumierMisha de Potestad
MonteurMadeleine Gug
RégisseurAlain Darbon

générique artistique

Philippe Avron(Fifi)
Mireille Nègre(Mimi)
Henri Lambert(le dompteur)
Raoul Delfosse(le directeur du cirque)
Paule Noëlle(Marie-Noëlle de Montsouris)
Michel de Ré(l'homme sur la barque)
Martine Sarcey(la femme sur la barque)
Charles Moulin(le Breton)
Jeanne Pérez(la Bretonne)
Michel Nastorg(Monsieur de Montsouris)
Raymonde Vattier(Madame de Montsouris)
Pierre Collet(un truand)
Michel Thomass(un truand)
Dominique Zardi(un truand)
Georges Gueret(un truand)
Claude Evrard(l'homme volé)
Pierre Repp(le commissaire)
Max Montavon(le majordome des de Montsouris)
Roger Trapp(le cycliste)
Jacques Blot
Jean Coste
Jacques Dumur
Elie Pressmann
Jacques Ramade
Dominique Solane
Jean-Jacques Steen

Bibliographie

Synopsis

Le métier de pickpocket est un métier rude, coupé parfois de réels dangers, comme dirait le colonel Bramble. Fifi en fait l'expérience le jour où, profitant du passage d'un cirque pour se livrer à ses activités favorites, il se retrouve en piste au milieu de la cage aux fauves. Le dompteur, à qui il coupe ses effets, lui voue aussitôt une inimitié qui s'aggrave encore du fait que Fifi, joli garçon, ne déplaît pas à l'écuyère. Le directeur, à la recherche d'une attraction géniale, essaie justement de mettre au point un numéro d'homme-oiseau, et l'acrobate en question vient d'être victime d'un accident. Fifi le remplacera à son corps défendant. « voler », après tout, c'est son métier. Sans succès : il apprend avec horreur que les ailes sont désormais greffées. Mais, l'amour donnant des ailes, comme chacun sait, il réussit tout de même à voler pour les beaux yeux de l'écuyère. C'est le point de départ de sa carrière « d'ange » au cours de laquelle il redressera bien des situations perdues mais se fera, parmi les « rampants », bien des ennemis. Jusqu'au jour où, revenu au bercail, l'écuyère lui coupe subrepticement les ailes. Ils vont se marier et se retirent dans une ferme bretonne où Fifi avait connu son vrai paradis. Et voilà que, deux ans plus tard, ils donnent le jour à un mignon rejeton dont, déjà, les ailes poussent fort bien.
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