La Tour, prends garde (1957) Georges Lampin

Pays de productionFrance ; Italie ; Yougoslavie
Sortie en France26 février 1958
DistributeurPathé Distribution (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurGeorges Lampin
Assistant réalisateurJean Lefèvre
ScénaristeDenys de La Patellière
ScénaristeClaude Accursi
AdaptateurGeorges Lampin
AdaptateurClaude Accursi
DialoguisteClaude Accursi
Société de production Vega Films (Paris)
Société de production S.G.G.C. - Société Générale de Gestion Cinématographique
Société de production Ufus Film (Belgrade)
Société de production Fono Roma
ProducteurEvrard de Rouvre
ProducteurAlbert Passy
Directeur de productionJean Kerchner
Distributeur d'origine Sirius Films (Paris)
Directeur de la photographieJean Bourgoin
CadreurLouis Stein
Ingénieur du sonSéverin Frankiel
Compositeur de la musique originaleMaurice Thiriet
Compositeur de la musique originaleGeorges Van Parys
DécorateurJacques Colombier
CostumierMarcel Escoffier
CostumierChristiane Coste
MaquilleurJean-Jacques Chanteau
CoiffeurJean Lalaurette
MonteurRobert Isnardon
MonteurMonique Isnardon
ScriptLily Hargous
RégisseurMichel Choquet
Photographe de plateauMarcel Combes

générique artistique

Jean Marais(Henri La Tour)
Eleonora Rossi Drago(Mme d'Amalfi)
Nadja Tiller(Mirabelle)
Cathia Caro(Toinette)
Jean Parédès(Taupin)
Renaud Mary(Pérouge)
Yves Massard(Marmande)
Jean-Pierre Léaud(Pierrot)
Christian Duvaleix(Passelacet)
Liliane Bert(Mme de Châteauroux)
Robert Dalban(Barberin)
Marcel Pérès(Chamonet)
Dominique Davray(invitée de Taupin)
Raoul Delfosse(Bravaccio)
Jean Lara(Louis XV)
Roger Saget(Noailles)
Paul-Émile Deiber(Saint-Sever)
Albert Michel(l'ami de Taupin)
Sonja Hlebs(l'impératrice)
Jacques Marin
Monette Dinay
Jacques Degor
Irèna Kis

Bibliographie

Synopsis

La Tour et sa troupe de comédiens ambulants rejoignent en Bavière les armées du roi pour y donner des représentations. Français et Bavarois mènent la guerre contre Marie-Thérèse, alliée des Anglais et des Turcs. En chemin, La Tour sauve la vie à la comtesse d'Amalfi, attaquée par des Turcs, après quoi, en sa compagnie, ils gagnent le camp du roi. En observant le camp de Marie-Thérèse, Louis XV découvre son étendard devant la tente de sa rivale. Saint-Sever promet de le lui ramener. Cependant, les comédiens donnent une représentation où les gens de la Cour sont mis à mal par les couplets de La Tour. Ceci met en fureur Saint-Sever qui charge son homme de confiance, Pérouge, de corriger La Tour. Pérouge s'acquitte de cette besogne en faisant rosser le comédien par des soldats. Dès le lendemain, La Tour prend sa revanche en ramenant seul du camp de Marie-Thérèse l'étendard de Louis XV. Le roi, pour le récompenser, l'ennoblit. La Tour, dévenu l'égal de Saint-Sever, le provoque en duel. Les deux hommes se battent quand ils sont assaillis par un groupe d'Autrichiens. Ils font face à l'ennemi, se protègent mutuellement. Les Autrichiens doivent abandonner la bataille mais Saint-Sever est poignardé dans le dos par Pérouge qui s'enfuit, sans que La Tour l'ait vu. Avant de mourir, Saint-Sever demande A La Tour de veiller sur sa fille Antoinette, qui est à Paris. Accusé d'avoir tué Saint-Sever par traîtrise, La Tour est recherché pour meurtre. Poursuivi, arrêté dans la capitale, La Tour s'échappe avec le secours de ses amis. Mais Antoinette est tombée entre les mains de Pérouge qui, avant de mourir, la fait envoyer en déportation avec les filles publiques. Toujours avec l'aide de ses amis, La Tour sauve Antoinette avec maintes péripéties, poursuites et combats.
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