Générique technique

Réalisateur	Claude Lelouch
Assistant réalisateur	Pierre Uytterhoeven
Assistant réalisateur	Claude Gorsky
Scénariste	Claude Lelouch
Collaborateur scénaristique	Pierre Uytterhoeven
Dialoguiste	Claude Lelouch
Société de production	Les Films 13 (Paris)
Directeur de production	Roger Fleytoux
Distributeur d'origine	Les Artistes Associés
Directeur de la photographie	Patrice Pouget
Directeur de la photographie	Jean Collomb
Cadreur	Claude Lelouch
Ingénieur du son	Paul Boistelle
Ingénieur du son	Michel Fano
Ingénieur du son	Jean Baronnet
Compositeur de la musique originale	Francis Lai
Auteur des chansons originales	Pierre Barouh	"Un homme et une femme", "A l'ombre de nous", "Aujourd'hui, c'est toi", "Plus fort que nous"
Compositeur des chansons originales	Francis Lai	"Un homme et une femme", "A l'ombre de nous", "Aujourd'hui, c'est toi" et "Plus
Compositeur des chansons originales	Vinicius de Moraes	"Samba saravah"
Interprète des chansons originales	Pierre Barouh	"Un homme et une femme", "Aujourd'hui, c'est toi" et "Plus fort que nous"
Interprète des chansons originales	Nicole Croisille	"Un homme et une femme", "A l'ombre de nous" et "Plus fort que nous"
Interprète des chansons originales	Jean-Claude Briodin	"Samba saravah"
Décorateur	Robert Luchaire
Costumier	Richard Marvil
Maquilleur	Denise Lemoigne
Coiffeur	Jacques Cousty
Monteur	Claude Barrois
Régisseur	Pierre Pardon
Coordinateur des effets spéciaux	Jean Beylieu

générique artistique

Anouk Aimée	(Anne Gauthier)
Jean-Louis Trintignant	(Jean-Louis Duroc)
Pierre Barouh	(Pierre Gauthier)
Valérie Lagrange	(Valérie Duroc)
Antoine Sire	(Antoine Duroc)
Souad Amidou	(Françoise Gauthier)
Yane Barry	(la maîtresse de Jean-Louis)
Simone Paris	(la directrice du pensionnat)
Paul Le Person	(le pompiste)
Henri Chemin	(le coéquipier de Jean-Louis)
Gérard Sire	(la voix du speaker)

Bibliographie

Périodiques

• Avant-Scène du Cinéma (L'), n° 65, décembre 1966
• Cahiers du Cinéma (Les), n° 179, juin 1966
• Cahiers du Cinéma (Les), n° 180, juillet 1966
• Cahiers du Cinéma (Les), numéro spécial, avril 1997
• Cinéma 66, n° 107, juin 1966
• Cinémonde, n° 1636, janvier 1966
• Cinémonde, n° 1649, avril 1966
• Cinémonde, n° 1650, mai 1966
• Cinémonde, n° 1652, mai 1966
• Ciné-Revue, n° 22, juin 1966
• Daily Cinema, n° 9320, janvier 1967
• Film Daily, vol. 128, n° 135, juillet 1966
• Film Francais (Le), n° 1148, 3 juin 1966
• Film Français (Le), Spécial Cannes 66, n° 1143
• Film Quarterly, vol. 20, n° 3, avril 1967
• Film Review, mars 1999
• Films and Filming, vol. 13, n° 5, février 1967
• Jeune Cinéma, n° 16, juin 1966
• Kine Weekly, n° 3093, janvier 1967
• Monthly Film Bulletin, vol. 34, n° 398, mars 1967
• Motion Picture Herald, vol. 236, n° 5, août 1966
• Positif, n° 79, octobre 1966
• Positif, n° 80, décembre 1966
• Revue du Cinéma (La) / Image et Son, n° 196, juillet 1966
• Sight and Sound, vol. 35, n° 3, juillet 1966
• Technicien du Film (Le), n° 125, mars 1966
• Variety, 18 mai 1966

Synopsis

Anne Gauthier et Jean-Louis Duroc, trente ans tous les deux, se rencontrent par hasard à Deauville, où ils viennent rendre visite à leurs entants respectifs, en pension dans un home. Poussés l'un vers l'autre, amenés à mieux se connaître, les deux jeunes gens voient grandir entre eux une tendre amitié. Mais Anne parle sans cesse de son mari, avec passion. En réalité, celui-ci, cascadeur, s'est tué deux ans plus tôt et son souvenir ne cesse de l'obséder. Elle le dit à Jean-Louis. Au cours d'un prochain week-end, c'est au tour de Jean-Louis d'avouer à Anne son propre passé. Lui-même, coureur automobile, a eu un très grave accident ; sa femme, qui le crût perdu, s'est tuée par désespoir. Ainsi ces deux êtres, veufs, seuls, à l'âge des premiers bilans, des doutes et de l'espoir, se croisent. Mais le rallye de Monte-Carlo sépare Anne de Jean-Louis. Jean-Louis dispute l'épreuve avec maestria. Anne lui envole un télégramme : Bravo, je vous aime. L'amour s'impose à lui : il aime Anne et ne peut plus vivre sans elle. Au volant de sa Mustang, il coure la rejoindre ; c'est samedi, le week-end, elle est à Deauville. Il fonce donc à Deauville. Des heures et des heures de route, sans sommeil, pour revoir celle qu'il aime, la tenir dans ses bras. Ce moment de bonheur sera aussi celui de la vérité : au moment de devenir amants, Anne se refuse, possédée par l'image de son mari mort. Est-ce l'échec ? L'échec d'une rencontre, d'un amour ? Jean-Louis, déçu, regagne Paris, seul. Anne a pris le train. A la gare St-Lazare, Jean-Louis est là. Laisser passer cette chance exceptionnelle ? Vraiment trop bête, trop lâche ! Anne lui tombe dans les bras. Le bonheur ? Certainement.
© Les fiches du cinéma 2001