Générique technique

Réalisateur	Guy Lefranc
Assistant réalisateur	Claude Sautet
Scénariste	Frédéric Dard
Auteur de l'oeuvre originale	Roger Pierre	d'après une idée
Dialoguiste	Michel Audiard
Dialoguiste	Frédéric Dard
Société de production	Cinéphonic
Société de production	S.G.G.C. - Société Générale de Gestion Cinématographique
Société de production	S.N.P.C. - Société Nouvelle Pathé Cinéma
Producteur	François Chavane
Producteur associé	Pierre Cabaud
Directeur de production	Armand Bécüe
Distributeur d'origine	Pathé Consortium Cinéma
Directeur de la photographie	Pierre Petit
Cadreur	Gilbert Chain
Ingénieur du son	Julien Coutellier
Compositeur de la musique originale	Marcel Delannoy
Décorateur	Georges Lévy
Maquilleur	Georges Bouban
Monteur	Robert Isnardon
Monteur	Monique Isnardon
Script	Marie-Thérèse Cabon
Régisseur	Hubert Mérial
Photographe de plateau	Marcel Combes

générique artistique

Fernand Raynaud	(Fernand Jérôme)
Noël Roquevert	(Joseph Jérôme/Grand J.)
Louis de Funès	(l'inspecteur Victor Merlerin)
Jean-Marc Tennberg	(La Postiche)
Henri Crémieux	(Le Professeur)
Annie Noël	(Renée Merlerin)
Suzanne Dehelly	(Gertrude)
Madeleine Barbulée	(Madame Merlerin)
Marcel Bozzuffi	(La Volaille)
Paul Crauchet	(Marcel)
Geneviève Morel	(la fleuriste)
Pierre Duncan	(Jo)
Gaston Orbal	(le tailleur)
Lucien Guervil	(le crémier)
Charles Bouillaud	(le capitaine des pompiers)
Michel Nastorg	(le directeur de la P.J.)
Paul Barge	(l'inspecteur Malabouis)
Alain Nobis	(l'inspecteur Bécavet)
René Lefèvre-Bel	(le directeur de la banque)
Pierre-Jacques Moncorbier	(le réceptionniste de l'hôtel)
Louis Saintève	(le guichetier)
Palmyre Levasseur	(une cliente de la crémerie)
Paul Rieger	(un inspecteur)
Charles Bayard	(un monsieur)
Serge Bento	(un employé de la banque)
Louis Massis	(un employé de la banque)
Edouard Francomme	(un convoyeur de fonds)
Marc Arian	(un voyageur dans le métro)
Maurice Magalon	(un photographe)
Antonin Baryel
Jacques Bézard
Françoise Honorat
Aurore Paquiss

Bibliographie

Synopsis

Fernand Jérôme est un peu « dingue » comme le disent ses camarades de bureau à la Banque. Cela n'empêche pas que des gangsters essayant de commettre leur hold up sont très gênés par sa présence matinale dans une rue, son pot à lait dans la main. Bien plus gênés encore quand ils attaquent sa banque et que Fernand, malgré sa maladresse, sauve l'établissement. La petite Merlerin, qui négligeait ses avances, tombe dans ses bras ; il devient un personnage célèbre ignorant, le malheureux, que le chef de bande est son propre père, le Grand J., sur la trace de qui est lancé l'inspecteur Merlerin, son futur beau-père, armé de son pendule. Les gangsters se déguisent en journalistes pour kidnapper Jérôme. Mais le Grand J., repentant, libère son fils après un inénarrable dîner de fiançailles où le Grand J. trinque avec l'inspecteur.
© Les fiches du cinéma 2001