Knock (1950) Guy Lefranc

Pays de productionFrance
Sortie en France21 mars 1951
Durée98 mn
DistributeurMission Distribution (source : ADRC)
>> Rechercher "Knock" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurGuy Lefranc
Assistant réalisateurMaurice Delbez
Assistant réalisateurMichel Mombailly
ScénaristeGeorges Neveux
Auteur de l'oeuvre originaleJules Romains
DialoguisteJules Romains
Société de production Les Productions Jacques Roitfeld
ProducteurJacques Roitfeld
Directeur de productionLéon Canel
Distributeur d'origine Sirius Films (Paris)
Directeur de la photographieClaude Renoir
CadreurGilbert Chain
Ingénieur du sonJean Rieul
Compositeur de la musique originalePaul Misraki
Directeur artistiqueLouis Jouvet
DécorateurRobert Clavel
CostumierRosine Delamare
MaquilleurSerge Gleboff
MonteurLouisette Hautecoeur
ScriptNicole Bénard
RégisseurJean Mottet
Photographe de plateauRoger Corbeau

générique artistique

Louis Jouvet(le docteur Knock)
Jean Brochard(le docteur Parpalaid)
Pierre Renoir(le pharmacien Mousquet)
Pierre Bertin(l'nstituteur Bernard)
Marguerite Pierry(la dame en violet)
Yves Deniaud(le tambour)
Jane Marken(Madame Parpalaid)
Mireille Perrey(Madame Rémy)
Jean Carmet(Le premier homme)
André Dalibert(Le deuxième homme)
Geneviève Morel(La dame en noir)
Bernadette Lange(Mariette)
Paul Faivre(le maire Michalon)
Madeleine Barbulée(une infirmière)
Jean Berton(l'homme du train)
Louis de Funès(le malade qui a perdu 100 grammes)
Pierre Duncan(le livreur)
Jean Sylvain(le chauffeur)
Claire Olivier(Madame Mousquet)
Marius David
Jacques Monod

Bibliographie

Synopsis

Le nouveau docteur de Saint Maurice, Knock, confie à son prédécesseur, Parpalet, qu'il aurait dû mieux tirer parti de sa situation. Le pharmacien et l'aubergiste comprennent vite l'aspect financier d'une mise en coupe réglée de la commune sur le plan médical, car « les bien portants sont des malades qui s'ignorent ». Il faut éclairer ceux qui sont capables de payer les soins qu'exige leur état. Le village devient donc le sanctuaire de la maladie, le rite quotidien est la prise de température. Parpalet lui-même, venu toucher son terme, ne trouve place à l'auberge qu'en étant déclaré malade, et il finira sans doute par croire au diagnostic sévère de Knock.
© Les fiches du cinéma 2001
Logo

Exploitation