Paris secret (1964) Edouard Logereau

Pays de productionFrance ; Liechtenstein
Sortie en France09 juin 1965
Procédé image35 mm - Couleur
Durée88 mn
DistributeurGaumont (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurEdouard Logereau
Assistant réalisateurJean-Louis Van Belle
Assistant réalisateurEdmond Caprasse
Assistant réalisateurNikita Mandryka
Auteur du commentaireHenri Garcin
Auteur du commentaireRomain Bouteille
Société de production Ulysse Productions
Société de production Primex Films (Paris)
Société de production Carlton Continental
Société de production Michael Arthur Film Production (Vaduz)
ProducteurPierre Roustang
ProducteurMichael Arthur
Directeur de productionRené Marjac
Distributeur d'origine The Rank Organisation
Directeur de la photographieRoland Pontoizeau
CadreurYann Le Masson
Ingénieur du sonRené Levert
Compositeur de la musique originaleAlain Goraguer
Interprète des chansons originalesHerbert Léonard
Directeur artistiqueClaude Brulé
DécorateurGeorges Koskas
MonteurJacques Doillon
MonteurNoëlle Boisson
Photographe de plateauDaniel Frasnay

générique artistique

Altagor(le poète adorateur de l'oeuf)
André Soriano(un adorateur de l'oeuf)
Fernand Bachelard(le géant Atlase du cirque)
Roberto(un nain du cirque)
Johnny Cacao(un nain du cirque)
Robert Secq(le mondain chez les gitans)
Martine Drouère(la fille tatouée)
Gilbert Leduc(un catcheur)
Kiomi Sawa(un catcheur)
Stef de Bombay(le marchand de squelettes)
Bruno(dans son propre rôle)
Roger Chomeaux(dans son propre rôle)
Henri Garcin(la voix d'un narrateur)
Romain Bouteille(la voix d'un narrateur)

Bibliographie

Synopsis

Sous prétexte de montrer un Paris « inconnu des touristes », le réalisateur promène le spectateur, sans plan bien défini, dans les endroits les plus baroques et en présence de quelques personnages et coutumes en effet insolites, mais généralement pas ignorés. Monstres de Bouglione, championnats réels de catch théoriquement non truqués, sujets anatomiques ou figures de cire, clochards en liesse, prostituées de tous étages et débauches diverses, adorateurs de l'oeuf ou du nombril, cabarets d'homosexuels et ainsi de suite. Le « Mondo cane » du pauvre, en somme.
© Les fiches du cinéma 2001
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