Générique technique

Réalisateur	Edouard Molinaro
Assistant réalisateur	Pierre Cosson
Scénariste	Georges Neveux
Scénariste	François Chavane
Scénariste	Edouard Molinaro
Auteur de l'oeuvre originale	Maurice Leblanc
Dialoguiste	Georges Neveux
Société de production	Cinéphonic
Société de production	Da.Ma. Cinematografica (Roma)
Directeur de production	Hubert Mérial
Directeur de la photographie	Pierre Petit
Cadreur	Noël Martin
Ingénieur du son	André Hervée
Compositeur de la musique originale	Georges Van Parys
Décorateur	Robert Clavel
Costumier	Georgette Fillon
Maquilleur	Michel Deruelle
Monteur	Robert Isnardon
Monteur	Monique Isnardon
Script	Hélène Sébillotte
Régisseur	Armand Tabuteau
Photographe de plateau	Jean Magis

générique artistique

Jean-Claude Brialy	(François de Vierne)
Jean-Pierre Cassel	(Gérard Dagmar)
Françoise Dorléac	(Nathalie Cartier)
Geneviève Grad	(Catherine de Poldavie)
Daniel Cauchy	(Charly)
Henri Garcin	(Hans)
Jean Le Poulain	(le préfet de police)
Anne Vernon	(Madame de Bellac)
Michel Vitold	(le baron von Krantz)
Mary Marquet	(la reine Elisabeth III de Poldavie)
Henri Virlojeux	(Ganimard)
Jean-Marie Proslier	(Monsieur de Bellac)
Fernand Fabre	(Monsieur de Vierne)
Yvonne Clech	(Madame de Vierne)
Paul Demange	(Maître Puisette)
Charles Millot	(le médecin)
Robert Arnoux	(le baron Hector Martin)
Madeleine Clervanne	(Sybille Borel)
Hubert Deschamps	(le ministre)
Pascal Mazzotti	(le commissaire)
Hubert de Lapparent	(le croque-mort)
Gregori Chmara	(Basile)
Henri Lambert	(un homme de main du médecin)
Jacques Herlin	(un homme de main du médecin)
Laszlo Szabo	(un homme de main du médecin)
Jacques Mancier	(le gouverneur de la Banque de France)
Alain Morat	(le roi Michel XIV de Poldavie)
Nicole Desailly	(Madame Dagmar)
Jean-Jacques Steen	(le patron du cabaret)
Evelyne Ker	(l'entraîneuse du cabaret)
Paul Bisciglia	(l'assistant du croque-mort)
André Badin	(le journaliste)
Robert Burnier	(Joseph)
Gérard Darrieu	(un marin)
Jacques Blanchot	(un marin)
Dominique Zardi	(le barman)
Charles Bouillaud	(le cheminot)
Arlette Balkis	(Madame Bourgeois)
Jean Sylvain	(le clerc de Maître Puisette)
Marcel Bernier	(le chauffeur du médecin)
Jimmy Perrys	(le chauffeur de François)
Claude Richard	(Edmond)
Yvon Sarray	(le commissaire-priseur)
Henri Attal	(un truand à l'enterrement)
Michel Thomass	(un truand à l'enterrement)
Jean Minisini	(un truand à l'enterrement)
Christian Brocard	(le crieur de journaux)
Louis Saintève	(le haut fonctionnaire à l'inauguration)
Raoul Saint-Yves	(le secrétaire du préfet)
Jack Berard	(un militaire à l'inauguration)
Andrès	(un homme à la salle des ventes)
Marc Arian	(un cheminot)
René Aranda	(un photographe)
Georges Billy	(un invité à la réception)
Gaston Meunier	(un invité à la réception)
Jean Gold	(un homme à l'enterrement)
Henri Rondel	(un inspecteur)
Lucien Desagneaux
Guy Henry

Bibliographie

Synopsis

Une brillante société, parmi laquelle des ministres et des académiciens, assiste à l'enterrement de l'industriel André Laporte. En fait, André Laporte n'est qu'un prête-nom : il s'agit, en réalité, du trop fameux Arsène Lupin. Une fois connue, la « farce » monumentale produit l'effet qu'on devine (surtout sur la personne du Préfet de Police). Mais il y a pire. De menus « exploits » sont commis ici et là et tous portent la signature du célèbre gentleman-cambrioleur, pourtant disparu. Par quel mystère ? Parce qu'Arsène Lupin laisse deux fils naturels : l'un, pour l'état civil, le jeune comte François de Vierne, l'autre, Gérard Dagmar, obscur prestidigitateur ; comme on le voit, deux individus d'horizons sociaux bien différents mais qui portent en eux le même et impérieux attavisme. Les choses se compliquent lorsqu'un usurpateur s'empare du trône de Poldavie, avec la complicité de l'inquiétant baron von Krantz. Le roi de ce petit pays vient de mourir à Paris. Mais, avec l'aide de son ami Lupin, il a réussi, auparavant, à mettre en lieu sûr une cassette contenant, outre le trésor royal, des documents compromettants pour le baron. Il va sans dire que le baron veut s'emparer de la cassette et que les deux « Lupin » ont de leur côté la même préoccupation (ces derniers, il faut le dire, n'étant pas toujours du même avis).
© Les fiches du cinéma 2001