Les Oreilles entre les dents (1987) Patrick Schulmann

Pays de productionFrance
Sortie en France08 juillet 1987
Durée100 mn
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Générique technique

RéalisateurPatrick Schulmann
Assistant réalisateurHenri Grimault
Assistant réalisateurThierry Lasheras
ScénaristeDidier Dolna
ScénaristePatrick Schulmann
ScénaristeMichel Zemer
Société de production Hachette Première (Paris)
Société de production Madeleine Films (Paris)
Producteur déléguéGilbert de Goldschmidt
Producteur exécutifMichel Zemer
Distributeur d'origine UGC - Union Générale Cinématographique
Directeur de la photographieJacques Assuérus
Ingénieur du sonGérard Lamps
Ingénieur du sonPhilippe Sénéchal
Compositeur de la musique originalePatrick Schulmann
DécorateurMichel Modai
CostumierOlga Pelletier
MonteurAline Asséo

générique artistique

Jean-Luc Bideau(Jean-Paul Blido)
Fabrice Luchini(Luc Fabri)
Laurent Gamelon(Max)
Jeanne Marine(Léa Stagnari)
Feodor Atkine(Dancourt)
Guy Montagné(Gayat)
Philippe Khorsand(Korg)
Gérard Manzetti(Boris)
Kevin Burgos(Attila)
Gabriel Cattand(Thérond)
Christophe Salengro(Biguir)
Michèle Brousse(Jeanne)
Jean-Marie Balembois(Carel)
Mohamed Camara(Apo)
Math Samba(Ze)
Rosette(Isabelle)
Claude Melki(Kimmel)
Yves Carlevaris(Gérard)

Bibliographie

Synopsis

Pas content que le sbire du grand et défunt Stagnari lui ait taillé un lobe, le petit truand va défrayer la chronique de sa vengeance: il tue l'homme, qui tentait pourtant de sauver sa peau en échange d'une photo à la dédicace codée indiquant à Léa Stagnari l'emplacement de l'héritage paternel, et en sus lui coupe les oreilles avant de les lui placer entre les dents. Un vrai crime de maniaque. Excellente occasion pour une jeune femme de se débarrasser de sa rivale, pour un couple de quincaillers de son contrôleur fiscal... Le Ministère de l'Intérieur charge alors l'éminent criminologue Jean-Paul Blido de démasquer le déséquilibré, coupable, selon se dernier, de ces homicides à la chaîne. Que Korg, chauffeur de ministre en mal de célébrité, après s'être accusé devant lui, tue une femme pour lui prouver qu'il est l'auteur de tous les essorillements précédents, il n'en a cure. En revanche, parce que sourd et passionné d'arts japonais, Luc Fabri, lui, a le profil requis. Entre temps, Léa avec son copain Max et son fils de trois ans dit Attila, essaie de reprendre la photo au petit truand qui lui-même veut lui extorquer le code. De son côté, le second du ministre, le fidèle Dancourt profite judicieusement de la macabre série pour offrir à son bon ami, en cadeau d'anniversaire, le cadavre de son rival politique. Confusion et quiproquo: c'est le ministre lui-même qui est exécuté. Le tueur, en les poursuivant, ayant perdu la vie et ses deux pavillons, Léa et Max récupèrent l'"héritage" au sommet d'un château d'eau qu'Attila ne tarde pas à faire exploser. Dancourt, désespéré, se coupe les oreilles qu'il confie à Korg, et voilà celui-ci arrêté pour un meurtre qu'il n'a pas commis. Luc Fabri, qui n'a pas supporté la perquisition destructrice de ses bonsais, attend, sabre au clair à la sortie de son bureau et lui tranche les oreilles. "Coupez", dit le réalisateur en contrechamp.
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
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