Plus de vacances pour le bon Dieu (1949) Robert Vernay

Pays de productionFrance
Sortie en France 1950
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Générique technique

RéalisateurRobert Vernay
ScénaristeSolange Térac
ScénaristeLil Boel
ScénaristeRobert Vernay
Auteur de l'oeuvre originalePaul Armont
Auteur de l'oeuvre originalePaul Vandenberghe
DialoguistePierre Laroche
DialoguisteRobert Vernay
Société de production Latino-Consortium-Cinéma
Société de production Jason Films
ProducteurHubert d' Achon
Directeur de productionHubert d' Achon
Directeur de la photographieVictor Arménise
Ingénieur du sonAntoine Archimbaud
Compositeur de la musique originaleLouis Beydts
DécorateurRené Moulaert
MonteurMarthe Poncin
ScriptSuzanne Durrenberger

générique artistique

Pierre Larquey(Le père Antoine)
Laurence Aubray(L'assistante sociale)
Roland Armontel(Michel-Angel)
Antoine Balpêtré(L'inspecteur)
Maximilienne(La tante)
Arlette Accart
René Alié(le chauffeur)
Sabine André(la mère de Pierrot)
Jean-François Bailly
Paul Barge(le monsieur irascible)
Charles Bayard
Jean Berton(le père de Jules)
Léon Berton(l'attorney)
Jacqueline Carlier(une ménagère)
Marcel Charvey
Henri Coutet(l'oncle Alfred)
Robert Dartois
Guy Denancy
Marcelle Féry
Jean Francel
Jacky Gencel(Bout de Bibi)
Albert Gercourt
Lud Germain
Georges Gosset(le patron du bistrot)
Lucien Guervil
Jean Hébey
Daniel Ivernel(le docteur)
Sophie Leclair
Serge Lecointe
Léonce
Yette Lucas
Albert Malbert
Nicole Marée
Christiane Mayo
Marcel Méral
Jane Morlet(la mère Antoine)
Henri Mouche(Pivolo)
Maryse Paillet
Laure Paillette
Raymond Rognoni(le curé)
Catherine Romane
Marcel Rouzé
Georges Saillard
Sylvie Serliac
Made Siamé
Christian Simon(Pierrot)
Andrée Tainsy
Ginette d' Yd
Yvonne Yma
Jeanine Zorelli

Bibliographie

Synopsis

Les enfants de Montmartre qui ne partent pas en vacances ont imaginé de dérober les chiens et de les rendre contre rançons. L'argent ainsi récupéré est employé à satisfaire les désirs les plus enfantins et parfois les plus précoces. L'idée du mal n'effleure pas les jeunes étourdis qui selon l'expression de leur chef suivent simplement l'exemple des héros américains du gangstérisme. Ils ont par contre l'idée du bien et, s'amusant du bonheur qu'ils procurent grâce à leur argent, ils n'emploient bientôt plus celui-ci qu'à secourir ceux qui en ont besoin. Sous le couvert de l'anonymat, ils adressent leurs dons comme venant du Bon Dieu. Se rendant compte soudain du caractère répréhensible de leur entreprise, ils décident de tout arrêter. L'un des leurs, étant grièvement blessé, ils l'aideront en payant les soins grâce à la dernière somme récupérée.
© Les fiches du cinéma 2001
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