Des gens sans importance (1955) Henri Verneuil

Pays de productionFrance
Sortie en France15 février 1956
DistributeurTamasa Distribution (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurHenri Verneuil
Assistant réalisateurJacques Rouffio
Auteur de l'oeuvre originaleSerge Groussard
DialoguisteFrançois Boyer
Société de production Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord
Société de production Ardennes Films
Société de production Chaillot Films
Directeur de productionGeorges Charlot
Distributeur d'origine Cocinor - Comptoir Cinématographique du Nord
Directeur de la photographieLouis Page
Ingénieur du sonJean Rieul
Compositeur de la musique originaleJoseph Kosma
DécorateurRobert Clavel
MaquilleurJacqueline Jaudon
MonteurChristian Gaudin

générique artistique

Jean Gabin(Jean Viard)
Françoise Arnoul(Clotilde)
Pierre Mondy(Berty)
Dany Carrel(Jacqueline Viard)
Paul Frankeur(Emile Barchandeau)
Yvette Etiévant(Solange Viard)
Robert Dalban(Gilier)
Lila Kedrova(Madame Vacopoulos)
Nane Germon(la mère de Clotilde)
Pierre Fromont(Brégier)
Jacques Marin(Armand)
Max Mégy(Philippe)
Héléna Manson(Madame Germaine)
Gabriel Gobin(l'homme de la Croix-de-Briac)
Harold Kay(l'officier américain)
Marcelle Arnold(la concierge)
Germaine Michel(la voisine)
Edmond Ardisson(un routier)
Jacques Ary(un routier)
Emile Genevois(un routier)
Raoul Marco(le propriétaire du magasin de meubles)
Jean Daurand(un infirmier)
Christian Loiseau(Loulou Viard)
Marcel Rouzé(Max Viard)
Gérard Darrieu(l'homme au lapin)
Nina Myral(l'employée chez Barchandeau)
Alain Bouvette(le chauffeur qui s'endort)
Henri Coutet(un employé du garage)
Jimmy Perrys(un routier danseur)
Philippe Clair(un joueur de baby foot)
Annick Bertrand
Charles Bouillaud
André Dalibert
Monique Delcour
Charles Humbert
Marcel Roche

Bibliographie

Synopsis

Jean Viard et son second, Berly, routiers sur Paris-Bordeaux, s'arrêtent une nuit de Noël à bout de fatigue au relais Barchan-deau. Clotilde (Clo), ia serveuse du moment, recherche Jean ; elle est jolie et désemparée ; s'apercevant qu'il est marié, elle le laisse en paix. A Paris, Jean trouve en rentrant la stupidité rogue du contrôleur de route, l'incompréhension et les reproches de sa femme, la méchanceté inconsciente de sa fille Jacqueline. Au voyage suivant, Jean accepte Clo dans son camion : elle quitte sa place et rentre pour quelques jours chez sa mère, à Bordeaux, le temps de retrouver du travail. Mais la mère refuse : Armand, le beau-père « actuel » est si jeune. Clo demande à Jean de la ramener chez Barchandeau ; et c'est à la faveur de la nuit leur premier baiser. Cinq mois passent. Jean arrête à chaque voyage. Trop peu au gré de Clo qui se plaint le jour vient où Jean, excédé des brimades du contrôleur, cogne et se retrouve à pied. Clo sait alors qu'elle attend un enfant ; elle l'écrit à Jean, mais la lettre reste en souffrance au dépôt. Clo rejoint Jean à Paris, et trouve un emploi de bonne dans une maison de passe tenue par Mme Vaco (Vacopoulos). Jean décide, dès qu'il aura du travail, de liquider la famille et de partir avec Clo. Mais les choses sont brusquées : Jacqueline intercepte la lettre de Clo et la lit à sa mère : Jean quitte le foyer. Clo, de son côté, doit révéler à sa patronne qu'elle est enceinte ; pour conserver sa place et éviter d'autres ennuis a Jean, elle accepte sur le conseil de Mme Vaco l'avortement. Jean, qui ne sait rien, la prend le lendemain dans son camion (il a un job provisoire). Voyage très pénible : 300 kilometres dans un brouillard croissant. Le camion stoppe devant un barrage. Jean appelle une ambulance, mais Clo mourra avant d'arriver. Nous apprenons que Jean rentrera au foyer.
© Les fiches du cinéma 2001
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