Je reviendrai à Kandara (1956) Victor Vicas

Pays de productionFrance
Sortie en France 1957
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Générique technique

RéalisateurVictor Vicas
Assistant réalisateurFabien Collin
ScénaristeJacques Companeez
ScénaristeAlex Joffé
ScénaristeVictor Vicas
Auteur de l'oeuvre originaleJean Hougron
DialoguisteFrançois Boyer
DialoguisteJean Hougron
Société de production JAD Films - Jayet, Dubois et Cie (Paris)
Directeur de productionPaul Temps
Directeur de la photographiePierre Montazel
Ingénieur du sonRené Longuet
Compositeur de la musique originaleJoseph Kosma
DécorateurRaymond Gabutti
MaquilleurHagop Arakelian
MonteurJean Feyte

générique artistique

François Périer(André Barret)
Bella Darvi(Pascale Barret)
Daniel Gélin(Bernard Cormière)
Suzy Jéra(Josette)
Jean Brochard(Le juge d'instruction)
Patrick Maurin
René Alié
Edmond Ardisson(le buraliste)
Madeleine Barbulée(Mme Lachaume)
Claudine Bleuse
Julien Carette(Grindel)
Claudy Chapeland(un élève)
Henri Coutet
Robert Dalban(Cordelec)
Max Dalban(porteur de journaux)
François Darbon(le commissaire)
Edouard Francomme
Emile Genevois
Gisèle Grimm(Henriette)
Lucien Guervil
René Hell
Léon Larive(employé à la consigne)
Robert Le Fort(ouvrier au commissariat)
Yves-Marie Maurin(un élève)
Daniel Mendaille
Jacques Monod
Louise Nowa
Jean Olivier
Marcel Pérès(l'agent)
Colette Régis(Mme Bergamier)
Marcel Rouzé
Louis Saintève
Guy Tréjan(Pélissier)
André Valmy(Rudeau)
Julien Verdier(Lachaume)
Roger Vincent
Suzy Willy

Bibliographie

Synopsis

Ayant tenté sa chance sans succès à Kandara, André Barret revient dans la petite ville de Loudan où l'attend sa femme Pascale. Il a abandonné son rêve et repris son poste de professeur à l'Institution Hoche et Pascale ne lui pardonne pas sa résignation, supportant mal la petite vie sans histoire qui est la leur. La mère de Pascale ne fait rien, bien au contraire, pour arranger les choses et Barret, renfrogné, n'a d'autre ami à Loudan que Rudeau, le directeur du journal local. Un soir, Barret aperçoit une ombre sur le toit de l'immeuble d'en face. Il apprend le lendemain que le locataire de la mansarde où il a vu entrer l'inconnu a été assassiné. Remettant à plus tard, car il est pressé, la déposition qu'il projette de faire à la police, Barret n'en est pas moins inquiet car, s'il a vu « l'ombre », l'ombre a pu le voir. Le jour même, un jeune homme employé à la consigne de la gare, Bernard Cormière, vient demander à Barret de lui donner des leçons de français en vue d'un examen. Le comportement étrange de Cormière transforme les premiers soupçons en certitude et Barret est bientôt convaincu que son élève est l'assassin. Mais il faut des preuves et Pascale elle-même met la méfiance de son mari vis-à-vis de Cormière sur le compte de la jalousie. Cormière tente sans succès de supprimer Barret et, craignant d'être dénoncé, porte à la consigne de la gare la valise contenant l'argent volé. Le soir, il attend Barret dans un endroit désert, mais c'est celui-ci qui, armé depuis qu'il se sent menacé, sort un revolver et tire. Cormière n'est que grièvement blessé. Inculpé et écroué, Barret ne peut donner aucune preuve de la culpabilité de Cormîère. La déposition de Pascale ne fait que renforcer la thèse selon laquelle Barret a tiré sur Cormière par jalousie, pour se débarrasser d'un rival. Voyant cette situation, Cormière accuse Barret d'être le meurtrier. Il va étayer cette accusation en dissimulant dans la maison de Barret la valise qu'il avait placée à la gare. La valise est découverte. Cormière est mort d'une embolie consécutive à l'effort fait dans la nuit pour quitter l'hôpital. La vérité sera pourtant connue, grâce à un billet de consigne et, repentante, Pascale suivra son mari pour de nouveau tenter leur chance.
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