Générique technique

Réalisateur	Michel Deville
Assistant réalisateur	Claude Miller
Assistant réalisateur	Gérard Pirès
Scénariste	Maurice Rheims
Adaptateur	Nina Companeez
Adaptateur	Michel Deville
Dialoguiste	Nina Companeez
Société de production	Les Films de la Pléiade (Paris)
Producteur	Pierre Braunberger
Directeur de production	Roger Fleytoux
Distributeur d'origine	C.C.F.C. - Compagnie Commerciale Française Cinématographique (Paris)
Directeur de la photographie	Claude Lecomte
Cadreur	Robert Foucard
Ingénieur du son	André Hervée
Compositeur de la musique originale	Jean Roux
Décorateur	Jacques Dugied
Monteur	Nina Companeez
Conseiller artistique	Maurice Rheims

générique artistique

Robert Hirsch	(Martin)
Véronique Vendell	(Zouzou)
Marlène Jobert	(la résistante)
Walter Rilla	(le général von Haffelrats)
Georges Chamarat	(Renard)
Katia Kristine	(l'Anglaise)
Hélène Dieudonné	(Marie-Marguerite)
Jacqueline Monsigny	(Madame Dural)
Norbert Terry	(un Américain)
Paul-Émile Deiber	(le général de Lamarzelle)
Maurice Escande	(le président du jury)
Carl Studer	(le capitaine Wallace)
André Weber	(le chauffeur)
Anthony Sharp	(le major)
Reinhardt Kolldehoff	(le chef de la Gestapo)
Louis Velle	(le colonel Dumesnil)
Claude Vernier	(le Prussien)
Michel Gatineau	(un comédien)
Marcel Gassouk	(un comédien)
Jean Martin	(Monnier)
Henri Labussière	(l'aubergiste)
Paul Pavel	(l'employé de la Comédie-Française)
Guy Saint-Jean	(la sentinelle)
Wolfgang Saure	(Wilderheim)
Donald O'Brien	(le capitaine Carruthers)
Adrien Cayla-Legrand	(Charles De Gaulle)
Fred Fisher	(un soldat de la Gestapo)
Claude Bertrand	(Galland)
Pierre Hatet	(un Français)
François Moro-Giafferi	(un Français)
Roger Rudel	(un Français)
Gilbert Servien	(un Français)
Gérard Villers	(un Français)
Serge Lahssen	(un Français)
Joachim Westhoff	(un Allemand)
Gerry Ramm	(un Allemand)
Jean-Pierre Jorris	(un Allemand)
Paul Wagner	(un Allemand)
Colin Mann	(un Anglais)
Alan Adair	(un Anglais)
Max Gulak	(un Américain)

Bibliographie

Périodiques

• Arts loisirs, n° 54, 5 octobre 1966
• Cahiers du cinéma (Les), n° 184, novembre 1966
• Ciné Paris, n° 102, juin 1966
• Cinéma 66, n° 108, juillet 1966
• Cinéma 67, n° 112, janvier 1967
• Cinémonde, n° 1649, 18 avril 1966
• Cinémonde, n° 1658, 1er juillet 1966
• Daily Cinema (The), n° 9367, 12 mai 1967
• Film Français (Le), n° 1162, 30 septembre 1966
• Kine Weekly, n° 3110, 20 mai 1967
• Monthly Film Bulletin, vol. 34, n° 396, janvier 1967
• Positif, n° 149, avril 1973
• Revue du Cinéma (La) / Image et Son, n° 200, décembre 1966
• Technicien du film (Le), n° 126, 15 avril 1966
• Téléciné, n° 132, janvier 1967
• Unifrance Film / La Production Cinématographique Française, n° 53, août 1966

Synopsis

Martin est acteur de troisième ordre dans une tournée inclassable. Cela se passe le jour du Débarquement. Déguisé pour les besoins du théâtre en officier allemand, il est ramassé par les Américains, lesquels le livrent aux Français. Ayant prouvé sa bonne foi, Martin devient ordonnance du général. Pour son malheur, il revêt la tenue de son patron et en profite pour éblouir une gentille perruche. Malheur ! Le voilà enlevé par un général allemand, ennemi de Hitler, qui lui livre de précieux renseignements. Délivré à nouveau, Martin est décoré. Et voilà que le G.Q.G. cherche un agent pour jouer le rôle d'un officier allemand qui fera réussir le complot échoué le 20 juillet. Bon gré, mal gré, il y va. Bon an, mal an, il s'en tire. Jusqu'au jour où il tombe aux mains de la Gestapo. Evadé, il est pris par les F.F.I. Mais il a encore trouvé le moyen de glaner des renseignements précieux. Et, au grand jour. il est promu officier et décoré par « qui-de-droit ». Son ambition ? Entrer à la Comédie Française. Qui-de-droit le présente. Et lui, qui a sauvé sa peau par son talent de comédien, est recalé.
© Les fiches du cinéma 2001