Le Tatoué (1968) Denys de La Patellière

Pays de productionFrance ; Italie
Sortie en France18 septembre 1968
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
DistributeurTamasa Distribution (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurDenys de La Patellière
Assistant réalisateurMarco Pico
Assistant réalisateurBernard Stora
Auteur de l'oeuvre originaleAlphonse Boudard
DialoguistePascal Jardin
Société de production Les Films Copernic (Paris)
Société de production Les Films Corona (Paris)
Société de production Ascot-Cineraid (Roma)
Directeur de productionRalph Baum
Directeur de la photographieSacha Vierny
Ingénieur du sonJean Rieul
Compositeur de la musique originaleGeorges Garvarentz
DécorateurRobert Clavel
MaquilleurJacky Bouban
MonteurClaude Durand
ScriptColette Crochot
Coordinateur des effets spéciauxGérard Cogan
Photographe de plateauMarcel Dolé

générique artistique

Jean Gabin(Legrain)
Louis de Funès(Félicien Mézeray)
Dominique Davray(Mme Mézeray)
Jean-Pierre Darras(Lucien)
Henri Virlojeux(Dubois)
Pierre Tornade(le brigadier)
Michel Barbey(le pilote d'hélico)
Pierre Guéant(Richard Mézeray)
Joe Warfield(Larsen)
Donald von Kurtz(Smith)
Hubert Deschamps(professeur Mortemont)
Pierre Mirat(le ministre)
Pierre Maguelon(2ème détective)
Pierre Repp(le paysan)
Iska Khan(professeur de judo)
Jacky Blanchot(2ème pilleur)
Rudy Lenoir(le garçon)
Michel Tureau(réalisateur de télévision)
Ibrahim Seck(le valet de Mézeray)
Jean-Pierre Sentier(le garçon)
Max Fournel(le chauffeur)
Patrick Préjean(le détective)
Claude Salez(le barman)
Jacques Richard(pilleur de châteaux)
Jacques Bérard(3ème pilleur)
Lyne Chardonnet(Valérie Mézeray)
Danielle Durou(Justine)
Yves Barsacq(le postier)
Paul Mercey(Pellot)
Bernard Mongourdin
Renate Birgo

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Brocanteur enrichi dans le commerce des peintures naïves, Félicien Mezeray découvre un jour un authentique Modigliani tatoué sur le dos de Legrain, ancien légionnaire coléreux et misanthrope. Désormais Mezeray n'a plus qu'une idée, une obsession : acquérir le « tableau ». Déjà, il l'a vendu à des Américains qu'il a contraints auparavant à acheter plusieurs dizaines de tableaux invendables dont il voulait se débarrasser. La première visite des Américains et de Nézeray chez Legrain tourne mal. Celui-ci les chasse à coups de fusil. Mais Mezeray ne se tient pas pour battu. Il retourne dans le pavillon de banlieue du légionnaire et lui fait la proposition suivante : s'il accepte de lui donner le Modigliani, Mezeray remettra à neuf, à ses frais, sa bicoque de campagne. Le légionnaire, pour la première fois, dit oui. Dans une vieille voiture, il emmène l'homme d'affaires dans sa campagne. Le voyage est long, difficile. Les deux voyageurs passent une nuit sous la tente. Mézeray est furieux de la prolongation du voyage, et plus furieux encore de n'avoir pas de téléphone à sa disposition. Enfin on arrive au but : qu'elle n'est pas la surprise de Mézeray quand 11 découvre que la soi-disante bicoque est en fait un magnifique château du XIVe siècle qu'il faudra des millions pour restaurer ! La première nuit au château est troublée par des pillards. Un fusil à l'épaule, les deux compagnons partent en chasse, et les pillards finiront aux oubliettes où la police, ameutée par leurs cris, les retrouvera le lendemain. Mézeray a convoqué l'entrepreneur de maçonnerie du village. Les travaux ont commencé. Legrain, qui est en réalité un noble de haut lignage, est obligé de signer la cession du tableau. Il surprend une conversation secrète entre Mézeray et l'entrepreneur. Quand, plus tard, des pierres lui tombent presque sur la tête, ,Legrain est persuadé que Mézeray avait ordonné un accident criminel. Il le rattrape sur la route. L'homme d'affaires s'explique : il avait simplement recommandé au maçon de bâcler le travail. Impatients, les Américains, restés à Paris, envolent deux détectives au château. Ceux-ci, comme plus tard la délégation ministérielle venue féliciter Legrain et Mézeray des travaux en cours, finiront tous aux oubliettes. Quant au brocanteur, conquis par les beautés de la vie, campagnarde, surtout quand elle est agrémentée d'une petite chasse aux pillards de temps en temps, il a décidé de s'installer chez le châtelain. Les deux hommes sont en effet devenus les meilleurs amis du monde, et miracle ! ! Mézeray ne semble plus songer au tableau ni à ses bénéfices.
© Les fiches du cinéma 2001
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Exploitation

Tournage

Dates de tournage

Début : 15 février 1968

Lieux de tournage