Synopsis
Les principaux monuments de France ont été dérobés et remplacés par leur réplique en plâtre et une simple carte portant la mention "signé Furax". Faisant taire leurs querelles, le chef de la DDT, Fouvraux, et celui de la PJ, Socrate, s'associent et font même appel aux deux privés Black et White pour retrouver ce dangereux fauteur de troubles que tout le monde croyait mort. On se doute bien que les deux aviateurs qui les ont arrosés de bombes ne sont pas étrangers à l'affaire. Fouvraux et Socrate les cueillent, mais Grougnache et Clackmuf s'échappent. Heureusement, ont-ils laissé une carte indiquant le prochain monument qui doit être enlevé. Sur les lieux, les deux policiers constatent que c'est l'entreprise Poudrilégumes qui procède à la déposition des édifices à l'aide d'une machine hydraulique mystérieuse dont la clef du fonctionnement est demandée au professeur Hardy Petit et son fils Théo Courant. Pour en savoir plus, Fouvraux se rend à l'usine Poudrilégumes et y surprend toute une secte à l'écoute des incantations adressées par Clackmuf au grand Babu. Pendant ce temps, Black et White, secrètement convoqués par Malvina, la maîtresse de Furax, rencontrent celui-ci qui nie toute participation dans l'affaire. C'est donc bien Clackmuf, qui vient d'enlever Théo pour récupérer la machine, dont on sait maintenant qu'il s'agit d'un réducteur de densité, qui tire toutes les ficelles pour le grand Babu. S'apprêtant à partir avec ses disciples et les monuments miniaturisés destinés à leur maître sur l'excargo de Bourgogne, Clackmuf est arrêté in extremis par Socrate et Fouvraux. Les deux policiers mettent ainsi un terme au mystère du boudin sacré, emblème du grand Babu. Une fête est donnée, où Fouvraux se rend avec Malvina. C'est lui le vrai Furax, qui s'était recyclé dans la police et entend bien ne pas voir sa suprématie contestée, fût-ce par le grand Babu.
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma