Les Grands sentiments font les bons gueuletons (1973) Michel Berny

Pays de productionFrance
Sortie en France12 décembre 1973
Procédé image35 mm - Couleur
Durée105 mn
>> Rechercher "Les Grands sentiments font les bons gueuletons" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurMichel Berny
ScénaristeAndré Ruellan
ScénaristeMichel Berny
Société de production Régis Films
ProducteurRobert Paillardon
Distributeur d'origine Les Films de La Boétie
Distributeur d'origine CIC - Cinema International Corporation
Directeur de la photographieClaude Agostini
Ingénieur du sonDaniel Brisseau
MixeurJean Nény
Compositeur de la musique originaleVladimir Cosma
MonteurPierre Gillette

générique artistique

Michel Bouquet(Claude Reverson)
Jean Carmet(Georges Armand)
Michael Lonsdale(Stéphane)
Anouk Ferjac(Paulette Reverson)
Micheline Luccioni(Christiane Armand)
Anicée Alvina(Anne-Marie Reverson)
Gabrielle Doulcet(Tante Yvette)
Jacques Dynam
Henri Guybet
Jacques Canselier
Chantal Aba
Michèle Alexandre
Madeleine Bouchez
Barbara Boutet
André Chanu
Sophie Chemineau
Gilles Chevallier
Pierre Collet
Louis Florentino
Fanny Gaillard
Lisa Livane
Alain Gravian
Philippe Jourde
Yvon Lec
Pierre Lecomte
Jean Le Gall
Claude Legros
Colette Mareuil
Jean Mauvais
Jean-Jacques Moreau
Minnie Muller
Jacques Plée
Jacques Ramade
Diane Reydi
Jean-René Roney
Jacqueline Rouillard
Annie Rousset
Jean Tolzac
Nadia Vasil

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Un chien conduit une aveugle, la fait traverser au milieu des voitures. A cet instant, surgit une vieille dame au volant d'une 4L. Elle veut éviter l'aveugle. Elle s'écrase contre un réverbère. A des kilomètres de là, Georges Armand conduit sa DS sur une route de campagne. La radio annonce la mort de sa mère. Il perd le contrôle de sa voiture et s'aplatit contre une borne. Heureusement, il est sain et sauf. Georges Armand rentre chez lui et se met au chevet de la défunte. Son voisin de palier, Claude Reverson, lui rend visite et lui apprend le mariage imminent de sa fille Anne-Marie. Dès lors, l'incongruité des rites se dessine clairement: à la mairie, au cimetière, on s'achemine vers les catastrophes les plus prévisibles, ou les plus inattendues. Pourtant, la fête continue par un repas mortuaire d'un côté, et un banquet nuptial de l'autre. Le premier se déroule dans un silence de mort, seule une vieille tante égrène un monologue d'une rare perfidie. Le second n'est guère plus gai: la moitié de la noce est bloquée sur l'autoroute... A la fin de la journée, Reverson et Armand se retrouvent dans la cave. Ils échangent quelques mots et l'on constate que leur médiocrité n'est que le fait de rêves évanouis, d'espoirs perdus depuis longtemps.
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
Logo

Exploitation