Mon curé champion du régiment (1955) Emile Couzinet

Pays de productionFrance
Sortie en France 1956
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Générique technique

RéalisateurEmile Couzinet
Assistant réalisateurAndré Sarthou
ScénaristeEmile Couzinet
Auteur de l'oeuvre originaleFélix Celval
DialoguisteEmile Couzinet
Société de production Burgus Films (Bordeaux)
ProducteurEmile Couzinet
Distributeur d'origine Héraut-Film (Paris)
Directeur de la photographiePierre Dolley
CadreurLéon Bellet
Ingénieur du sonSéverin Frankiel
Compositeur de la musique originaleVincent Scotto
DécorateurRené Renneteau
MaquilleurNicole Duvergé
ScriptJacotte Ribot
RégisseurJean Cavaillès

générique artistique

Frédéric Duvallès(L'abbé Sourire)
Suzanne Baugé(Baronne de Villetaneuse)
Jean Carmet(Tiroir)
Annick Baugé(Josette)
Pierre Stephen(Baron Honoré de Villetaneuse)
Charles Dechamps(le capitaine)
Anne-Marie Mersen
Frédérique Nadar
Mimi Pujolle
Marcel Pérès(l'adjudant)
Jean-Michel Rankovitch
Pierre Brébans
Jacques Torrens
Jacques Sancerre
Charles Bayard
Harry-Max
Debouck
Marcel Roche
Edouard Rousseau
Sidoux
Germain Deroy
Willy Garrigues
Léandre Matéos
Michel Brard
Jean-Claude Bouton
Marie Morel

Bibliographie

Synopsis

L'Abbé Sourire, quî a dépassé la cinquantaine, est le nouveau curé d'une petite ville de province. Doux, effacé, ne lâchant ni chapeau, ni rabat, ni parapluie, il marque une préférence pour les petites gens ; ce qui lui vaut l'aigreur de Mme la Comtesse, capitaine des dames patronesses. Mme la Comtesse, qui est une ancienne danseuse de music-hall, affiche ses générosités, traite directement avec Monseigneur et entend être vénérée, écoutée et consultée en tout par son curé : or l'Abbé Sourire ne lui a pas encore fait visite, tout occupé qu'il est des pauvres. Plainte à l'Evêché ; lettre de blâme au curé, lequel arrive au château, essuie quelques avanies, touche un billet de 10 000, se confond en remerciements, promet de revenir, mais en repartant tombe malencontreusement dans le ruisseau. Dans le même temps le pays est en préparation de grande fête ;le Comité a fait venir entre autres l'équipe de boxe d'un régiment voisin. Le champion se trouve être le neveu des châtelains, lequel a fait le mur pour rejoindre le château et, de là, est parti en civil faire un tour avec une nouvelle connaissance. Ceci vaut à l'Abbé Sourire d'endosser le complet militaire du « permissionnaire » pendant que sèche sa soutane. A peine est-il habillé que l'on vient réclamer le champion fautif (le quartier est consigné). Pour sauver le neveu, la tante et. les pauvres, l'Abbé Sourire se laisse emmener et du coup entraîner dans une aventure abracadabrante qui se terminera sur le ring : après avoir pris pour la première fois de sa vie contact avec la discipline militaire, s'être rapidement initié au vocabulaire de caserne, essayé trois fois de repartir, en particulier pour assurer la messe de ce dimanche matin (sans y parvenir), le pauvre curé enfilera le maillot et les gants et sortira vainqueur du match, l'adversaire souffrant d'une énorme fluxion à la mâchoire.
© Les fiches du cinéma 2001
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