Général, nous voilà ! (1978) Jacques Besnard

Pays de productionFrance
Sortie en France18 octobre 1978
Durée100 mn
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Générique technique

RéalisateurJacques Besnard
DialoguisteJean Amadou
Société de production PromoCinéma
Distributeur d'origine SNC - Société Nouvelle de Cinématographie

générique artistique

Philippe Ricci(Thierry Duvernois)
Pierre Tornade(Julien Berger)
Roger Dumas(Bazas)
Darry Cowl(Le père blanc)
Henri Guybet(Le Général Talbot)
Jean Amadou(colonel Royer)
Rolande Kalis(Mme Marguerite)
Jacques Marin(Mac Goland)
Jacques Faber
Robert Rollis
Katia Tchenko

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

18 Juin 1940 à Saint-Aulay. Surpris par le gendarme Bazas durant ses ébats amoureux avec la femme du brigadier-chef Berger, Thierry Duvernois, déserteur de l'armée régulière, fuit en s'emparant du vélo de Berger. Celui-ci, aidé par son fidèle second décide de rattraper son voleur et ils y parviennent au moment où les Allemands installent la ligne de démarcation. Les voilà donc tous les trois en zone occupée, ne pouvant rejoindre, faute de papiers, Saint-Aulay situé en zone libre. Duvernois, dont le but est de rallier de Gaulle à Londres, réussit à semer les deux gendarmes qui cherchent eux-mêmes à échapper aux Allemands afin de regagner leur village. Après de nombreuses péripéties, ils se retrouvent ensemble sur la côte et, malgré leur désir de rester en France, Berger et Bazas se voient obligés par le tir de l'ennemi à fuir en barque avec Duvernois. Ils arrivent en Angleterre et, tandis que Duvernois est promu lieutenant, les deux gendarmes, déguisés en soldats allemands, sont faits prisonniers. Duvernois cependant les fait libérer et, lorsqu'il est chargé d'une mission, ceux-ci, croyant qu'il s'agit de rentrer en France, se portent volontaires. En fait, après un entraînement très éprouvant, ils sont parachutés dans le désert de Libye afin de retrouver le général italien Talbo dont l'avion s'est écrasé peu de temps auparavant. Alors que, désemparés au milieu d'un champ de mines, les trois Français tentent de récupérer leur équipement, ils voient arriver, à dos de chameau, un prêtre qui leur vient en aide. Ils partent alors avec lui et, petit à petit, dans les tribus où le prêtre s'arrête, ils retrouvent quelques morceaux de l'avion de Talbo. Arrivant enfin dans un camp français, ils font la rencontre des filles du "Panier Fleuri", qui, sous la houlette de Madame Marguerite, vont de camp en camp apporter quelques distractions aux guerriers. A la suite d'une embuscade dont ils sortent indemnes, Duvernois, Berger, Bazas et le prêtre sont alors contraints de poursuivre leur chemin dans le car qui transporte le "Panier Fleuri" et c'est par hasard, lors d'une halte dans une oasis que Talbo, ne résistant pas au plaisir de voir de près les filles de Madame Marguerite, vient se livrer aux Français. Convoité à la fois par les Anglais, les Français et les Allemands, c'est grâce aux ruses des filles de Madame Marguerite et à l'astuce de Duvernois que Talbo demeure prisonnier des Français. Cependant, lorsqu'après leur succès, les participants à l'opération sont décorés, Talbo disparaît avec le prêtre afin de respecter la promesse qu'il avait faite: entrer dans les ordres s'il sortait indemne des batailles livrées durant l'expédition.
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
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