Quand j'aurai vingt ans, je serai heureux (1976) Gabriel Auer, Philippe Pilard, Jean-Michel Carré, [etc.]

Pays de productionFrance
Sortie en France20 avril 1977
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Générique technique

RéalisateurGabriel Auer
RéalisateurJean-Michel Carré
RéalisateurPhilippe Pilard
RéalisateurPhilippe Haudiquet
ScénaristeGabriel Auer
ScénaristeJean-Michel Carré
ScénaristePhilippe Haudiquet
ScénaristePhilippe Pilard
Société de production Citévox
Société de production Collectif Grain de Sable
Société de production Les Films de la Pérussière
Distributeur d'origine Citévox
Distributeur d'origine Forum Films
Distributeur d'origine La Clef Distribution
Directeur de la photographieClaude Beausoleil
Directeur de la photographieJean-Michel Carré
Directeur de la photographieSimon Edelstein
Directeur de la photographieWilliam Lubtchansky
Ingénieur du sonGérard Bara
Ingénieur du sonAlain Lachassagne
Ingénieur du sonYves Zlotnicka
Compositeur de la musique originaleJean Ferrat
Compositeur de la musique originaleWolfgang Amadeus Mozart
Compositeur de la musique originaleArmando Sikorsky
MonteurMartine Evin
MonteurNéna Baratier
MonteurHélène Sautreau
MonteurMartine Cuisinier

générique artistique

Bernard Bailleul(Jo dans 350)
Serge Bonnet(patron plombier dans 350)
Claudine Bories(dans 36 heures)
Philippe Bulté(instituteur dans L'Enfant prisonnier)
Christian Catusse(Christian dans 350)
Noëlle Fremont(mère de Quentin dans L'Enfant prisonnier)
Alain Grestau(Jean-Noël dans Le Destin de Jean-Noël)
Dominique Hoffer(Marinette dans 350)
Alain Janey(directeur dans L'Enfant prisonnier)
Roland Magdane(vendeur dans 350)
Jean-Pierre Moulin(père de Quentin dans L'Enfant prisonnier)
Quentin Poindron(Quentin dans L'Enfant prisonnier)
Philippe de Poix(patron de bistrot dans 350)
Jacques Roehrich(ivrogne dans 350)
Gérard Zimmermann(dans 36 heures)

Bibliographie

Synopsis

L'ENFANT PRISONNIER. A peine réveillé, Quentin subit la première agression du monde adulte en assistant à la dispute qui oppose ses parents. Cartable sur le dos, dans la rue, Quentin se retrouve confronté aux difficultés de la circulation et aux nombreux interdits. A l'école, il doit subir les quolibets des filles dont il est la bête noire; elles le poursuivent et le corrigent sans façon! En classe, le professeur menace tous les enfants en agitant le spectre du chômage, avant de faire revivre avec passion la bataille de Waterloo! Au terme de la journée, conditionnée et programmée, Quentin quitte l'établissement après avoir pointé comme tout le monde... TRENTE SIX HEURES : Pierrot bénéficie d'une permission de trente-six heures. Il fait de l'auto-stop pour rejoindre la gare la plus proche d'où il prend le train pour Paris. Là, il se rend chez son amie mais trouve porte close. Elle ne l'attendait pas et rentre tard chez elle. Le lendemain, elle doit déjeuner en famille; ils y vont ensemble, mais Pierrot s'ennuie. Dans l'après-midi, ils se séparent. Pendant qu'elle rend visite à une amie, Pierrot va au cinéma. Le soir, ils se retrouvent, se disputent et se réconcilient. Au petit jour, Pierrot s'en retourne à la caserne. TROIS CENT CINQUANTE : Christian est plombier en banlieue parisienne. Avec ses économies, il a décidé de s'acheter une moto, aussi, en fin de semaine, va-t-il à Paris, avec un copain, dans un magasin spécialisé. Là, il constate qu'il n'a pas tout à fait la somme nécessaire et, comme le vendeur lui propose un petit crédit, Christian hésite. Dans un café voisin, il réfléchit aux contraintes du système capitaliste mais l'arrivée de deux amies met un terme à ses problèmes. Il renonce à son projet. Les jeunes gens fêtent alors chez les filles la décision de Christian, lequel repart "au boulot" le lundi matin. LE DESTION DE JEAN-NOEL : Un éducateur essaie par tous les moyens dont il dispose de s'opposer aux décisions arbitraites d'un juge par trop "bureaucratique". L'obstination de ce dernier conduira un jeune délinquant au suicide.
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
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