Générique technique

Réalisateur	Etienne Chatiliez
Assistant réalisateur	Denis Bergonhe
Assistant réalisateur	Patricia Eberhard
Scénariste	Florence Quentin
Société de production	France 3 Cinéma
Société de production	Le Studio Canal +
Société de production	Les Productions du Champ Poirier
Société de production	France 2 Cinéma
Société de production	Téléma
Producteur	Charles Gassot
Directeur de production	Daniel Chevalier
Distributeur d'origine	Bac Films
Directeur de la photographie	Philippe Welt
Cadreur	Pascal Genesseaux
Opérateur steadycam	Carlos Cabeceran
Ingénieur du son	Jean Umansky
Mixeur	François Groult
Compositeur de la musique originale	Pascal Andreacchio
Décorateur	Stéphane Makedonsky
Costumier	Edith Vespérini
Maquilleur	Jasmine Nakache
Maquilleur	Pascale Bouquière
Maquilleur	Jean-Charles Bachelier
Coiffeur	Agathe Moro
Coiffeur	Lolita Avellanas
Monteur	Anne Lafarge
Script	Sophie Thévenet-Becker
Régisseur	Gilles Loutfi
Directeur de casting	Richard Rousseau
Cascadeur	Roland Neunreuther
Cascadeur	Alain Villain
Photographe de plateau	Arnaud Borrel

générique artistique

Michel Serrault	(Francis Bergeade)
Eddy Mitchell	(Gérard)
Sabine Azéma	(Nicole Bergeade)
Carmen Maura	(Dolorès Tivar)
François Morel	(Pouillaud)
Guilaine Londez	(Sylvie Tivar, dite "Zig")
Alexandra London	(Géraldine Bergeade)
Eric Cantona	(Lionel)
Virginie Darmon	(Françoise Tivar, dite "Puce")
Catherine Jacob	(la femme d'André)
Daniel Russo	(André, le restaurateur)
Patrick Bouchitey	(J.P)
Roger Gicquel	(l'animateur)
Jean Bousquet	(le père Léonard)
Seloua Hamse	(Yasmina, déléguée syndicale).
Joël Cantona	(Nono)
Christophe Kourotchkine	(Rémi)
Yolande Moreau	(Lucette)
Serge Hazanavicius	(Alexis)
Marie Vinoy	(Cécilia)
Olivier Saladin	(le client du garage)
Karine Zulick	(Lison)
Isabelle Nanty	(l’ouvrière)
Eric Challier	(le molosse)
Alain Choquet	(le médecin)
Corine Vauville-Tatie	(la mère Pouillaud)
Gilles Treton	(le délégué C.G.T.)
Annie Lemoine	(Marie-Sophie)
Seiji Taeshima	(Rituzo)

Bibliographie

Ouvrages

• Jusqu'ici tout va bien... : scénario et photographies autour du film La Haine : un film de Mathieu Kassovitz / Mathieu Kassovitz.- Arles : Actes Sud, 1995

Périodiques

• Cahiers du Cinéma (Les), n° 498, janvier 1996
• Positif, n° 419, janvier 1996
• Première, n° 220, juillet 1995
• Première, n° 224, novembre 1995
• Sight and Sound, vol. 6, n° 2, décembre 1996
• Studio Magazine, n° 105, décembre 1995

Synopsis

Rude journée pour Francis Bergeade. Les employées de sa petite entreprise de 1unettes de W.C.thermoformées sont en grève. Sa femme, Nicole, "la plus grande emmerdeuse de la terre", lui pourrit la vie. Sans oublier les chacals de l'Urssaf qui lui réclament "300 patates". En plein déjeuner, "Au bon laboureur", Francis s'effondre, la tête dans une assiette de rognons. C'était trop pour un coeur fissuré. Hôpital, convalescence. Et pis, un réalité-show diffuse la photo d'un homme qui avait quitté sa famille sans mots d'excuse, 28 ans auparavant : même moustache, même bouille, le portrait craché de Francis. Ce dernier voit l'occasion de changer de vie. Il endosse l'identité du disparu. Il rejoint le Gers où la femme et les enfants d'un autre l'accueillent comme s'il était leur véritable mari et père. Le bonheur est dans le pré.
© Les fiches du cinéma 2001