L'Or et le plomb (1964) Alain Cuniot

Pays de productionFrance
Sortie en France16 mars 1966
Procédé image35 mm - NB
Durée92 mn
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Générique technique

RéalisateurAlain Cuniot
Assistant réalisateurBernard Rombach
ScénaristeAlain Cuniot
Auteur de l'oeuvre originale Voltaired'après le conte "Le Monde comme il va"
Société de production Les Films Jacques Willemetz
Société de production S.I.P.A.C. (Paris)
Producteur déléguéCharles Mandel
Directeur de productionLouis Fleury
Directeur de la photographieYann Le Masson
CadreurMichel Deloire
CadreurJean-Claude Bourlat
Ingénieur du sonRené Levert
Compositeur de la musique originaleMichel Legrand
Compositeur de la musique préexistanteJean-Sébastien Bach
MonteurFrancine Grubert
RégisseurMichel Montbailly
Coopérateur techniqueDaniel Vronecki

générique artistique

Alain Cuniot(Babouc)
Emmanuelle Riva(la femme du monde)
Jean Massin(l'historien)
Max-Pol Fouchet(le poète)
Yvonne Clech(l'invitée)
Michel Legrand(le musicien)
Raymond Gerbal(l'ouvrier)
Maddly Bamy
Paul Bisciglia
Guy Cayat
Marcel Champel
Andrée Cottet
Pierre Cuniot
François Dalou
Jeanne Dewerpe
Bernard Klein
Catherine Leccia
Monsieur Moglia
Madame Moglia
Madame Viglieno
Marjorie Noël
Yvan Peuck
Fanny Renan
Valia Rozaffy
Irène Schavelzon
Pierre Vielhescaze

Bibliographie

Synopsis

L'argument est tiré d'un conte de Voltaire : « Le monde comme il va ». Envoyé par le génie qui préside aux destinées de Persépolis (Paris !), le Scythe Babouc s'informe soigneusement de tout, pour dire au génie s'il faut ou non détruire la ville. Prétexte à une série d'interviews, de scènes prises sur le vif ou reconstituées en studio. Nous rencontrons ainsi un musicien qui ne vit que pour son art et un historien marxisant, l'un et l'autre finalement optimistes ; mais aussi une veuve de guerre et une vieille dame économiquement faible : cependant que la « fureur de vivre » se donne libre cours au Golf Drouot et que des mondains dissimulent leurs turpitudes derrière une façade de bonnes manières. Une famille nombreuse, pauvrement logée, fait face courageusement à son destin, et les enfants sont heureux ; un ménage ouvrier parle de la lutte syndicale, des conditions inhumaines du travail et des raisons d'espérer. Enfin, un poète résume l'ensemble en parlant de son engagement au service de l'homme.
© Les fiches du cinéma 2001
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