Für zwei Groschen Zärtlichkeit (1957) Arthur Maria Rabenalt

Call-girls

Pays de productionRépublique fédérale d'Allemagne
Sortie en France29 janvier 1958
Procédé image35 mm - NB
Durée95 mn
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Générique technique

RéalisateurArthur Maria Rabenalt
Assistant réalisateurMax Diekhout
ScénaristeWerner Hill
Auteur de l'oeuvre originaleFranz Geigerd'après une idée
Société de production Rialto Film GmbH (Berlin)
Société de production Rialto Film Preben Philipsen Filmproduktion und Filmvertrieb GmbH (Hamburg)
ProducteurPreben Philipsen
Directeur de productionHelmut Beck
Distributeur d'origine Les Films Marbeuf (Paris)
Directeur de la photographieAlbert Benitz
Ingénieur du sonKnud Kristensen
Compositeur de la musique originaleBert Grund
Compositeur de la musique originaleJørn Grauengaard
Compositeur de la musique originaleIb Glindemann
ChorégrapheNiels Bjørn Larsen
DécorateurHans Berthel
DécorateurErik Aaes
CostumierCharlotte Flemming
MaquilleurRaimund Stangl
MonteurAnker Sørensen

générique artistique

Claus Holm(Hendrik Pedersen)
Ingmar Zeisberg(Eva Bernhardt)
Kai Fischer(Ria)
Erwin Strahl(Luigi Moretti)
Irene Mann(Madeleine)
Paul Westermeier(Wilhelm Pedersen)
Inger Lassen(Madame Hansen)
Heinz Klevenow(Kostja)
Hannelore Wahl(Greta)
Ilona Wiedem(Raffaela)
Gerd Frickhöffer(Josef Hartlieb)
Josef Dahmen(Paul Müller)
Erwin Linder(Larsen)
Karl-Heinz Peters(Dallmann, le veilleur de nuit)
Gerda Madsen(Anni)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Eva Bernhardt se donne à un employé de la firme où elle travaille parce qu'elle le considère comme son fiancé ; surprise par un surveillant, celui-ci veut abuser d'elle puis, devant son refus, la fait congédier ; son « fiancé » l'abandonne. Sa mère vit avec un individu louche qui tourne autour de la jeune fille et, jalouse, elle met Eva à la porte de chez elle. Eva décide de se réfugier à Copenhague auprès d'une amie. Un routier, Pedersen, lui fait passer clandestinement la frontière et sur un coup de foudre réciproque, ils se donnent rendez-vous en se séparant. L'amie est employée dans le magasin de lingerie Moretti qui, en fait, couvre une entreprise de « call girls ». Eva se refuse à entrer dans l'affaire. Mais Pedersen, retenu, manque le rendez-vous et sans papiers, Eva ne trouve d'autre travail que de poser pour des photos de nus. Aussi est-elle forcée de présenter aussi les modèles aux clients, hommes mûrs et riches ; l'un d'eux se l'attache, attiré par la pureté qui se manifeste dans l'écoeurement avec lequel elle fait son travail. Mais un jour Pedersen la rencontre, lui demande sa main et l'installe chez son père. Elle est sauvée. Son amie, Rita, qui elle veut quitter Moretti et travailler honnêtement, lui emprunte de l'argent. Quand Eva vient le lui apporter, Eva a été escroquée de ses économies par un client de Moretti, Kostia, qui, arrêté, dénonce le trafic et une rafle embarque Moretti, Eva et les employées, saut une, encore mineure et échappée de l'assistance publique, qui se suicide. Pedersen venu chercher sa fiancée à la police apprend son passé et, écrasé de chagrin, lui crie son mépris et part. Heureusement, Madeleine, danseuse de talent qui se prostitue en secret pour faire vivre un jeune mari paralysé vient chez Pedersen plaider la cause d'Eva, en lui disant pourquoi Eva en est arrivée là. Le jeune homme pardonne et rattrappe de justesse Eva sur le quai de la gare.
© Les fiches du cinéma 2003
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