La Queue de la comète (1987) Hervé Lievre

Pays de productionFrance
Sortie en France27 juillet 1988
Durée87 mn
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Générique technique

RéalisateurHervé Lievre
Assistant réalisateurPascal Mirleau
Assistant réalisateurPatrick Pesenti
Assistant réalisateurChristian Garrigues
ScénaristeHervé Lievre
ScénaristeEric Tenet
Société de production Atelier Productions
Société de production AAPA (Paris)
ProducteurFrançois Blancpain
ProducteurHervé Lievre
Distributeur d'origine Les Films Jacques Leitienne (Paris)
Directeur de la photographieMaurice Giraud
Ingénieur du sonJean-Louis Garnier
Compositeur de la musique originaleChristophe Donnet
DécorateurPaul Ramlot
DécorateurJean-Louis Verhaegen
MonteurOlivier d' Angely

générique artistique

Christophe Donnet(Octave)
Albert Delpy(Paolo)
Gilles de Murger(Théo)
Tam Sir(Alice)
Philippe du Janerand(Patrick Matalon)
Jean Davy(le médecin-chef)
Jean-François Leca(Gabriel)
Marie Pillet(Joan, la mère de Théo)
Jacques Pratoussy(commissaire de police)
Sebastian Roché(Joachim, frère d'Alice)
Phung Tran(Fafa, musicienne informatique)
Nevena Petkova(la chanteuse)
Gérard Dessalles(producteur TV)
Carole Rouland(Zoé, copine de Théo)

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Au milieu des tours de verre, des dalles de béton, des parkings, vivent Octave et Alice. Vingt ans tous les deux, ils s'aiment, tendrement, simplement. Le jeune homme compose et chante. Elle peint. La vie pourrait s'écouler paisiblement. Mais il y a Théo, le fils de Paolo, impresario d'Octave. Théo vit en marge; ses seules relations sont des infirmiers qu'il prévient systématiquement dès qu'une jeune femme est accidentée et la bande de Gabriel, des voyous. Et puis Alice. Amoureux fou de la jeune fille, il la poursuit de ses assiduités. Il ne comprend pas qu'elle puisse aimer à ce point Octave. De dépit, de haine aussi, il provoque une bagarre avec la bande de Gabriel; Octave est blessé. Alice le soigne avec tout son amour. Partie chercher des médicaments, elle rencontre Théo et lui crie son dégoût. Il tente de la violer; en s'enfuyant, elle est renversée par un camion. Théo, fou de douleur, prévient la police et constate avec effarement que l'ambulance dépêchée sur les lieux est celle de ses "amis". Sans nouvelles d'Alice, Octave erre comme un fou. Paolo comprend que son fils n'est pas étranger à cette disparition mais ne peut rien en tirer. Enfin, un soir, Théo livre la vérité à Octave qui se précipite à l'hôpital. On lui assure, visite des chambres à l'appui, que la jeune fille n'est pas présente. En partant, un médecin l'aborde et lui révèle qu'Alice se trouve bien à l'hôpital mais dans un service particulier: là où les corps de jeunes accidentées servent à développer des grossesses dont les bébés sont ensuite revendus à prix d'or. Octave essaie vainement d'enlever Alice et de dénoncer le scandale, mais ni la police ni la presse ne s'intéressent à cette histoire... Le médecin-chef affirme qu'il faut opérer d'urgence la jeune fille. Ce soir-là Octave chante; entre deux chansons il apprend la mort d'Alice. C'est en pensant à elle qu'il remonte sur scène...
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
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