Générique technique

Réalisateur	Olivier Assayas
Assistant réalisateur	Marie-Jeanne Pascal
Assistant réalisateur	Daniel Maurer	pour le tournage en Suisse
Assistant réalisateur	Sabine Rosset	pour le tournage en Suisse
Scénariste	Jacques Fieschi
Scénariste	Olivier Assayas
Auteur de l'oeuvre originale	Jacques Chardonne	d’après le roman "Les Destinées sentimentales"
Adaptateur	Jacques Fieschi
Adaptateur	Olivier Assayas
Dialoguiste	Jacques Fieschi
Dialoguiste	Olivier Assayas
Société de production	Arena Films (Paris)
Société de production	TF1 Films Production
Société de production	CAB Productions (Lausanne)
Coproduction	Arcade Productions
Coproduction	RTS - Radio Télévision Suisse (Genève ; Lausanne)
Producteur	Bruno Pesery
Coproducteur	Jean-Louis Porchet
Coproducteur	Gérard Ruey
Directeur de production	Jean-Yves Asselin
Distributeur d'origine	Pathé Distribution
Directeur de la photographie	Eric Gautier
Ingénieur du son	Jean-Claude Laureux
Mixeur	William Flageollet
Chorégraphe	Yvonne Vart
Décorateur	Katia Wyszkop
Décorateur	Ivan Niclass	pour le tournage en Suisse
Costumier	Anaïs Romand
Maquilleur	Thi-Thanh-Tu Nguyen
Maquilleur	Véronique Hebet
Maquilleur	Benoît Lestang
Maquilleur	Emmanuel Pitois
Maquilleur	Johanita Mutter	pour le tournage en Suisse
Maquilleur	Martine Felber	pour le tournage en Suisse
Maquilleur	Nathalie Tanner	pour le tournage en Suisse
Coiffeur	Christine Leaustic
Coiffeur	Annie Marandin
Coiffeur	Fabienne Bressan
Monteur	Luc Barnier
Script	Agnès Feuvre
Régisseur	Olivier Hélie
Régisseur	Heinz Dill	pour le tournage en Suisse
Directeur de casting	Antoinette Boulat
Coordinateur des effets visuels	Hans Frei

générique artistique

Emmanuelle Béart	(Pauline)
Charles Berling	(Jean Barnery)
Isabelle Huppert	Nathalie)
Olivier Perrier	(Philippe Pommerel)
Dominique Reymond	(Julie Desca)
André Marcon	(Paul Desca)
Alexandra London	(Louise Desca)
Julie Depardieu	(Marcelle)
Louis-Do de Lencquesaing	(Arthur Pommerel)
Valérie Bonneton	(Madame Pommerel)
Pascal Bongard	(Vouzelles)
Didier Flamand	(Guy Barnery)
Jean-Baptiste Malartre	(Frédéric Barnery)
Nicolas Pignon	(Bavouzet)
Catherine Mouchet	(Fernande)
Mia Hansen-Løve	(Aline)
Sophie Aubry	(Dominique)
Victor Garrivier	(le pasteur Sabatier)
Jérôme Huguet	(René Fayet)
Mathieu Genet	(Max Barnery)
Rémi Martin	(Dahlias)
Roger Dumas	(le patron de Pauline)
Jean-Pierre Gos	(le notaire Fayet)
Saki Reid	(Miss Howard)
Claire Hammond	(Madame Ducros)
Pierre Saternaer	(l'ingénieur de l'usine)
Jocelyne Desverchère	(Célestine)
Patricia Dinev	(Solange)
Christian Drillaud	(le chirurgien)
Circé Lethem	(Anna)
Maryline Even	(la joueuse de bridge)
Christophe Jazinski	(Théodore)
Luc de Goustine	(le préfet)
Barnaby Southcombe	(le cavalier de Marcelle)
Josephine Firino-Martell	(Aline à cinq ans)
Alexandre Marcos	(Max à quatre ans)
Gregory Marcos	(Max à six ans)
Georges Wilson	(Robert Barnery)
Marion Chombart de Lauwe	(l'amie de Marcelle)
Michel Nissou	(Bourgaud-Duperron)
Michel Baudinat	(l’employé de Pommerel)
Olivier Darimont	(le chimiste de l’usine)
Fred Jaerman	(le pasteur Grisar)
Mauricette Gourdon	(Madame Julien)
Lula Bery	(la secrétaire de l’usine)
Pierre-Antoine Laloi	(l’employé de l’hôtel)
Jean-Baptiste Montagut	(l’ami d’Aline)
Michel Ardant	(un patron)
Gérard Beaulieu	(un patron)
Amélie Firino-Martell	(une jeune femme au bal)
Stéphanie Thiollet	(une jeune femme au bal)
Raymonde Duccheschi	(Mélanie)
Anna-Barbara Hauerter	(Rose)
Alain Braastad-Delamain	(le maître de chais en 1925)
Jean-François Chateauraynaud	(le maître de chais en 1900)
Michel Tabourin	(l’employé de chais)
Bernard Hine	(le pharmacien de Barbazac)
Kevin Labouille	(Théo, à cinq ans)

Bibliographie

Ouvrages

• Les destinées sentimentales : Scénario d'après le roman de Jacques Chardonne / Jacques Fieschi, Olivier Assayas, Paris, Cahiers du cinéma, 2000

Périodiques

• Cahiers du Cinéma (Les), n° 541, décembre 1999
• Cahiers du Cinéma (Les), n° 548, juiullet-août 2000
• Jeune Cinéma, n° 263, été 2000
• Positif, n° 473-474, juillet-août 2000
• Sight and Sound, vol. 11 n° 1, janvier 2001

Synopsis

Au début du siècle, Jean Barnery est un jeune pasteur, marié et père d'une petite fille. Soupçonnant sa femme de l'avoir trompé, il la renvoie puis, pris de remords, tente de refaire vie commune avec elle. Devant l'échec de cette entreprise - sa femme cherchant à le culpabiliser sur sa conduite en prenant l'attitude de la vertu meurtrie - il divorce puis se remarie avec Pauline. Tous deux partent en Suisse où ils vivent modestement mais dans le bonheur. Cependant, la famille de Jean, qui exploite une usine de porcelaine de Limoges et se trouve sans successeur, encourage celui-ci à reprendre les affaires. Contre l'avis de sa femme, Jean revient avec elle et leur fils à Limoges. Il se lance avec acharnement dans le travail et ses efforts se voient récompensés jusqu'à ce que la guerre anéantisse tous ses projets. Lorsqu'il revient en 1918, il faut relancer la machine. Jean est obsédé par la fabrique, au grand dépit de sa femme qui, par lassitude d'être seule, prend des amants. Jean revoit sa première femme lors de l'ordination de leur fille qui, après avoir mené une vie dissolue, se range dans les ordres. Avec la vieillesse, les liens entre Jean et Pauline se resserrent jusqu'à ce que Jean s'éteigne paisiblement après avoir contemplé la nouvelle création de la fabrique qui a abouti grâce aux efforts de Pauline.
© LES FICHES DU CINEMA - 2000