La Petite prairie aux bouleaux (2002) Marceline Loridan

Pays de productionFrance ; Pologne ; Allemagne
Sortie en France12 novembre 2003
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
DistributeurTamasa Distribution (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurMarceline Loridan
Assistant réalisateurFabien Vergez
ScénaristeMarceline Loridan
ScénaristeElizabeth D. Prasetyo
ScénaristeJean-Pierre Sergent
Société de production Mascaret Films (Paris)
Société de production Ciné Valse
Coproduction Capi Films (Paris)
Coproduction P'Artisan Filmproduktion (München)
Coproduction Heritage Films (Varsovie)
Producteur déléguéBénédicte Lesage
Producteur déléguéAriel Askénazi
Producteur déléguéAlain Sarde
Producteur déléguéChristine Gozlan
Directeur de productionMichel Fauré
Directeur de la photographieEmmanuel Machuel
Ingénieur du sonPaul Lainé
MixeurDominique Vieillard
CostumierChouchane Abello-Tcherpachian
MonteurCatherine Quesemand
ScriptJosiane Morand
Directeur de castingPhilippe Page

générique artistique

Anouk Aimée(Myriam)
August Diehl(Oskar)
Claire Maurier(Ginette)
Marilu Marini(Suzanne)
Zbigniew Zamachowski(Gutek)
Monique Couturier(Rachel)
Nathalie Nerval(la vieille femme)
Élise Otzenberger(Sarah)
Keren Marciano(Nourith)

Bibliographie

Synopsis

Après cinquante ans passés à New York, Myriam revient à Paris pour le banquet annuel de l'amicale des anciens d'Auschwitz. Elle a enfin décidé de retourner à Birkenau, et part donc à Cracovie. Là-bas, elle rencontre un historien juif polonais. Avec son aide, elle retrouve l'appartement de son père - déporté en même temps qu'elle, et qu'elle n'a jamais revu. Les occupants actuels la laissent entrer avec réticence et disent qu'ils ne sont au courant de rien. Puis, elle entre à Birkenau, par une vieille grille rouillée (elle ne veut pas entrer par la porte principale). Elle retrouve sa baraque, son châlit. Elle nomme toutes ses compagnes. Elle passera même la nuit dans son baraquement. En errant dans le camp, elle retrouve des pupitres de partitions, mais pour retrouver les tranchées qu'elle creusait tout près des crématoires, elle est obligée d'appeler une amie. Elle rencontre un jeune photographe allemand, Oskar, qui photographie systématiquement le camp, toutes les traces qui y subsistent. À Cracovie, Il finira par avouer à Myriam que son grand-père était colonel SS au camp. Finalement, c'est elle qui le guidera. Enfin, elle monte sur un mirador pour crier : "Je suis vivante". Quant Oskar lui demande, sur le quai du départ, ce que disait la dernière lettre de son père, elle avoue qu'elle l'a oublié.
© LES FICHES DU CINEMA 2003
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