Khorma, le crieur de nouvelles (2003) Jilani Saadi

Pays de productionFrance ; Tunisie
Sortie en France14 juillet 2004
Procédé image35 mm - Couleur
Durée80 mn
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Générique technique

RéalisateurJilani Saadi
ScénaristeJilani Saadi
Société de production K-Star
Société de production Pierre Javaux Productions (Issy-les-Moulineaux)
Coproduction K2 (Bruxelles)
ProducteurJilani Saadi
Directeur de productionMahmoud Ben Dhifallah
Directeur de productionMarie-Astrid Lamboray
Distributeur d'origine Eurozoom
Directeur de la photographieGilles Porte
Ingénieur du sonDavid Rit
Ingénieur du sonMoez Becheikh
Compositeur de la musique originaleKhaled Namlaghi
DécorateurAnes Talmoudi
CostumierFatma Ben Mahmoud
MonteurPhilippe Ravoet

générique artistique

Mohamed Graïaa(Khorma)
Mohamed Mourali(Boukhalb)
Ramzi Brari(Kamel)
Hassen Khalsi(Hadj Khalifa)
Dalila Meftahi(Bournia)
Lazhari Sbaï(Abdallah)
Dorra Zarrouk(Zohra)
Tarek Zammouri(Habib)
Jamel Sassi(Sami)
Chedly El Ouerghy(Si Ali)

Bibliographie

Synopsis

Bizerte, petite ville de Tunisie. Khorma, roux à la peau blanche, est un orphelin un peu simplet, à la fois aimé et méprisé. Il vit sous la protection de Boukhalb, colporteur de nouvelles et prieur de morts. Le vieil homme lui transmet patiemment son savoir, mais Khorma est un élève dissipé. La nuit, il regarde la télé et chante des airs populaires. Le lendemain matin, il ne parvient pas à se lever. Boukhalb se fait vieux : un jour, il annonce la mort d'une femme du quartier au lieu de colporter la nouvelle du mariage de sa fille. L'erreur est grave, mais est vite pardonnée dans la célébration du mariage. Hélas, trois jours plus tard, la femme en question meurt bel et bien. Les habitants accusent Boukhalb de porter malheur, les sages du quartier décident de s'en débarrasser. Faute de successeurs, c'est Khorma qui le remplace. Le jeune homme va prendre ses nouvelles fonctions très au sérieux. Il s'habille comme un prophète et se sent investi d'une mission divine. Il organise par ailleurs différemment le "commerce" des prières mortuaires, et se fait peu à peu des ennemis. Un soir, il dépasse définitivement les bornes en organisant une fête dans la maison d'une morte. Les habitants du quartier, excédés, s'en prennent violemment à lui, avant de l'abandonner, attaché à un poteau, dans une décharge. Au matin, un enfant viendra le délivrer.
© LES FICHES DU CINEMA 2004
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