Dias de campo (2003) Raoul Ruiz

Journées à la campagne

Pays de productionChili ; France
Sortie en France15 décembre 2004
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
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Générique technique

RéalisateurRaoul Ruiz
ScénaristeRaoul Ruiz
Auteur de l'oeuvre originaleFederico Ganad'après une nouvelle
Société de production Margo Films (Paris)
Société de production RR Producciones
ProducteurFrançois Margolin
Distributeur d'origine Gemaci
Directeur de la photographieInti Briones
Ingénieur du sonFelipe Zavala
Ingénieur du sonJean-Denis Bure
MixeurGérard Rousseau
Compositeur de la musique originaleJorge Arriagada
Compositeur de la musique originaleAlfonso Leng
MonteurJean-Christophe Hym

générique artistique

Marcial Edwards(Don Federico à 60 ans)
Mario Montilles(Don Federico à 90 ans)
Bélgica Castro(Paulita)
Ignacio Agüero(Daniel Rubio)
Rosita Ramirez(Petita)
Mónica Echeverría(la dame)
Carlos Flores(l'avocat Ursua)
Francisco Reyes(le docteur Chadian)
Amparo Noguera(Mademoiselle Chazal)
Cristián Quezada(Carcamo)
Mauricio Alamo(Arroyo)

Bibliographie

Synopsis

Au Chili, dans un café, deux hommes âgés discutent. L'un demande à son ami où en est son roman. Don Federico raconte une anecdote : il a avoué au fils d'un de ses amis qu'il est mort depuis dix ans. Il recueille des allumettes qu'il fait pousser. Si bien que l'armée doit les déplacer : sous la fenêtre, on voit passer des allumettes géantes. C'est un Federico d'une cinquantaine d'années qui raconte les souvenirs de sa vie à la campagne. Il était grand propriétaire terrien et vivait sur son domaine avec ses domestiques, dont Paulita, sa femme de chambre. C'est elle qui lui apporte le petit-déjeuner tous les matins. Il discute avec elle du menu des dîners ; il reçoit souvent des amis, bourgeois éclairés comme lui. Paulita a un fils, parti dans le Nord : comme elle ne sait pas lire, c'est Federico qui lui lit ses lettres. Il évoque une pianiste qui voulait faire découvrir la musique classique aux paysans. La conversation porte sur un paysan assassin qui a été fusillé. Paulita meurt. Au cours de la veillée, un inconnu lui raconte que Paulita écrit elle-même les lettres de son fils. Mais Paulita a, en réalité, fait semblant de mourir. Federico va voir un riche propriétaire voisin, dont l'origine est obscure. Mais il se révèle être le fils de Paulita. Retour au café. Federico lit le début de son roman.
© LES FICHES DU CINEMA 2004
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