Orlando Vargas (2004) Juan Pittaluga

Pays de productionFrance ; Uruguay
Sortie en France22 juin 2005
Procédé image35 mm - Couleur
Durée78 mn
DistributeurLe Petit Bureau (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurJuan Pittaluga
Assistant réalisateurAldo Romero
ScénaristeJuan Pittaluga
Société de production Gémini Films (Paris)
Coproduction Laroux Cine (Montevideo)
Coproduction Les Films du Rat
ProducteurPaulo Branco
Producteur associéSantiago Amigorena
Producteur associéJonathan Nossiter
Directeur de productionJoaquim Carvalho
Directeur de productionSerge Catoire
Directeur de productionElena Roux
Distributeur d'origine Gémini Films (Paris)
Directeur de la photographieCrystel Fournier
Ingénieur du sonCésar Lamschtein
MixeurNostradine Benguezzou
DécorateurRaquel Armas
CostumierAdelaida Rodríguez
MonteurClaudio Hughes
Directeur de castingBruno Aldecosea

générique artistique

Aurélien Recoing(Orlando Vargas)
Elina Löwensohn(Alice)
Héctor Guido(Passos)
Rosa Simonelli(Gloria)
Ernesto Liotti(Lorenzo)
Eduardo Amaro(Montaldo)
Jorge Bolani(l'homme saoul)
William Triest(Costas)
Ximena Decuadro(Rosina)
Juan Calvo(le commissaire Ramirez)
Daniel Rodriguez(Bénitez, le barman)
Rodrigo Dambrauskas(Thomas)

Bibliographie

Synopsis

Orlando Vargas, homme d'affaires français, vit en Uruguay avec sa femme et son jeune fils Thomas. Il subit, dans son travail, de très lourdes pressions politiques. Par fierté ou par pudeur, il ne laisse rien transparaître de son malaise à la maison. Sa femme reste impuissante à l'aider. Seul Thomas semble saisir quelque chose de ce trouble, sans pour autant réussir à soulager son père. Lentement, soir après soir, Orlando Vargas s'enfonce dans la solitude et l'alcool. Un collègue et ami lui conseille de se retirer quelques temps à Joséfina, le dernier village uruguayen avant le Brésil. La route est longue, mais Orlando Vargas décide, néanmoins, de faire le trajet en voiture, avec sa famille. Une manière de souffler un peu. Ils font halte dans un bordel où Thomas n'est pas autorisé à entrer. Un homme les suit à quelques kilomètres de distance. Arrivé à Joséfina, Orlando laisse sa femme et son fils découvrir la superbe villa qu'il a louée au bord de la mer. Lui préfère aller se saouler à la buvette locale où il sympathise avec les autochtones. Jamais Orlando Vargas ne rentrera à la villa. Sa femme, morte d'inquiétude, craint d'avoir compris. Quelques jours plus tard, on retrouve le corps d'Orlando Vargas. L'homme qui l'avait suivi jusque-là, un policier, quitte Joséfina. Sa femme et son fils ne tardent pas à faire de même.
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