Delwende, lève-toi et marche (2004) S. Pierre Yameogo

Pays de productionFrance ; Burkina Faso ; Suisse
Sortie en France14 décembre 2005
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
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Générique technique

RéalisateurS. Pierre Yameogo
ScénaristeS. Pierre Yameogo
Société de production Dunia Productions (Paris)
Société de production Les Films de l'Espoir (Ouagadougou)
Société de production Thelma Film AG (Zürich)
Producteur associéPierre-Alain Meier
Producteur déléguéS. Pierre Yameogo
Directeur de productionSerge Bayala
Distributeur d'origine Les Films du Safran
Directeur de la photographieJürg Hassler
Ingénieur du sonIssa Traoré
MixeurJean-Marc Schick
Compositeur de la musique originaleWasis Diop
Directeur artistiqueJoseph Kpobly
DécorateurJoseph Kpobly
MaquilleurMyriam Sidibé
MonteurJean-Christophe Ané
Photographe de plateauJean-Christophe Dupuy

générique artistique

Blandine Yaméogo(Napoko, la mère de Pougbila)
Claire Ilboudo(Pougbila)
Célestin Zongo(Diarrha, le père de Pougbila)
Thomas Ngourma(Élie, dit le Fou)
Daniel Kaboré(Bancé, dit l'Ancien)
Jules Taonssa(Raogo, dit le Devin)
Abdoulaye Komboudri(Nonceur)
Simon Kaboré
Milla Saturnin
Clarisse Guebe
Hamidou Sawadogo
Roger Wango
Zalissa Combassere
Thérèse Djima
Salif Guigma
Paul Kabre
Issouf Kiendrebeogo
Yobi Kiemore
Mariam Nikiema
Aminata Ouedraogo
Seydou Tanga Nikiema
Issaka Tiendrebeogo
Madeleine Zongo
François Taonssa
Ousmane Conombo
Salam Nikiema
Céline Combari
Soré Abdou Guelin
Issaka Koumaogo
Abou Chaboul Ouedraogo
Sanfo Ablasse
Essofa Akakora
François Binguoure
Zounprana Boukaré
Douamba Claver
Adjara Combassere
Issaka Combassere
Mamounata Combassere
Moussa T. Compaoré
Tiba Compaoré
Mamounata Congo

Bibliographie

Synopsis

A Saaba, village du Burkina Faso, les décès de jeunes gens se succèdent. Les habitants pensent, pour la plupart, qu'il s'agit d'actes d'une mangeuse d'âme. L'ambiance dans le village se dégrade. Pougbila annonce à sa mère, Napoko, qu'elle s'est fait violer, mais refuse de lui dévoiler le coupable. Pour éloigner sa fille, Diahrra, son père, choisit de la marier de force à un jeune homme d'un village voisin. Après le départ de Pougbila, d'autres décès se produisent. L'ensemble des habitants décide alors de porter le Siongho (instrument du destin), afin de découvrir le coupable. Diahrra s'arrange pour que le Siongho désigne Napoko, sa femme. Il ne veut pas que son secret soit dévoilé. Napoko est immédiatement chassée, et partout sa réputation de sorcière la précède : partout, elle est rejetée. |#Elle trouve refuge à Ouagadougou. Lorsque Pougbila apprend cela, elle part à la recherche de sa mère et la retrouve dans un centre destiné aux femmes accusées de sorcellerie. Elle lui confie le nom du coupable, puis, ensemble, elles rentrent au village afin de faire éclater la vérité. Diahrra reste muet. Pougbila se rend alors chez le chef du village. Un jeune homme avoue au même moment que Diahrra lui a demandé d'orienter le Siongho vers Napoko. L'honneur de Napoko est sauf, mais son mari est accusé du pire : le viol de sa fille.
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