La Ravisseuse (2004) Antoine Santana

Pays de productionFrance
Sortie en France31 août 2005
Procédé image35 mm - Couleur
Durée90 mn
DistributeurOcéan Films (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurAntoine Santana
Assistant réalisateurFrédéric Alexandre
ScénaristeVéronique Puybaret
Collaborateur scénaristiqueAntoine Santana
Collaborateur scénaristiqueFlorence Vignon
Société de production Film en Stock (Paris)
Coproduction Arte France Cinéma
Coproduction Rhône-Alpes Cinéma (Villeurbanne)
ProducteurDaniel Leconte
Producteur exécutifPascal Metge
Producteur exécutifVirginia Vosgimorukian
Directeur de productionPascal Metge
Distributeur d'origine Océan Films (Paris)
Directeur de la photographieYorgos Arvanitis
Ingénieur du sonMichel Vionnet
MixeurOlivier Walczak
Compositeur de la musique originaleLouis Sclavis
DécorateurSylvain Chauvelot
CostumierFlorence Sadaune
MonteurNadine Verdier
ScriptAnne-Marie Garcia
RégisseurRauridh Laing
Directeur de castingFrédérique Moidon
Photographe de plateauPierre Thoretton

générique artistique

Isild Le Besco(Angèle-Marie)
Emilie Dequenne(Charlotte)
Grégoire Colin(Julien)
Anémone(Léonce)
Frédéric Pierrot(Rodolphe)
Bernard Blancan(Jacques)
Christian Gasc(Couturier)
Aude Briant(Anne Devillers)
Bernard Nissile(Henri Blanchard)
Claudie Guillot(Henriette Blanchard)
Edith Perret(Marguerite Orcus)
Emmanuel Leconte(Armand de Teil)
Antonio Cauchois(Monsieur de Teil)
Pierre Thoretton(le photographe)
Jade Darai(une enfant)
Lou-Anne Villet(une enfant)
Justine Josselin(une enfant)
Chloé Guillaume(une enfant)
Lou Girier(une enfant)
Lisa-Marie Petit(une enfant)
Elena Pronesti(une enfant)
Lou Gomez(une enfant)

Bibliographie

Synopsis

Angèle-Marie, jeune paysanne, arrive comme "nourrice sur lieu" dans une famille bourgeoise pour allaiter le nouveau-né de la famille, une petite fille, Marcelline. Elle est accueillie plutôt fraîchement par Léonce, la domestique, aussi raide et sèche que sa jeune patronne, Charlotte, va se montrer chaleureuse. Peu à peu, c'est une réelle complicité qui s'établit entre les deux jeunes femmes, ponctuée de confidences, de séances chez le photographe et de sorties dans les salons de thé. Angèle-Marie, en confiance, finit même par évoquer l'existence de son fils Eugène, lui-même en nourrice à la campagne, et à la naissance duquel elle doit son lait. Julien Orcus, l'époux, observe d'un oeil mauvais et suspicieux le rapprochement des deux femmes, malmené qu'il est dans son obsession des convenances et le trouble sensuel violent qu'exerce sur lui la jeune nourrice qu'il met en scène dans ses fantasmes. Pour reprendre la maîtrise de la situation, il ne tarde pas à réaffirmer son autorité sur les deux femmes en contraignant son épouse, jeune accouchée, à l'accepter de nouveau dans le lit conjugal, et en décidant le renvoi d'Angèle-Marie. Il l'annonce abruptement à cette dernière, et lui apprend la mort de son fils Eugène, des suites du choléra. Éperdue de chagrin, Angèle-Marie met le feu à sa chambre, et s'enfuit avec Marcelline, que, dans sa confusion, elle prend pour son fils.
© LES FICHES DU CINEMA 2005
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