Les Amants réguliers (2004) Philippe Garrel

Pays de productionFrance
Sortie en France26 octobre 2005
Procédé image35 mm - NB
Durée178 mn
DistributeurAd Vitam (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurPhilippe Garrel
ScénaristeMarc Cholodenko
ScénaristePhilippe Garrel
ScénaristeArlette Langmann
DialoguistePhilippe Garrel
DialoguisteArlette Langmann
DialoguisteMarc Cholodenko
Société de production Maïa Films (Paris)
Coproduction Arte France Cinéma
ProducteurGilles Sandoz
Producteur associéPierre Chevalier
Producteur déléguéGilles Sandoz
Distributeur d'origine Ad Vitam Distribution (Paris)
Directeur de la photographieWilliam Lubtchansky
Ingénieur du sonAlain Villeval
Ingénieur du sonAlexandre Abrard
Compositeur de la musique originaleJean-Claude Vannier
ChorégrapheCaroline Marcadé
DécorateurNikos Meletopoulos
DécorateurMathieu Menut
CostumierJustine Pearce
CostumierCécile Bergès
MonteurFrançoise Collin
MonteurPhilippe Garrel
MonteurAlexandra Strauss

générique artistique

Louis Garrel(François Dervieux)
Clotilde Hesme(Lilie)
Eric Rulliat(Jean-Christophe)
Julien Lucas(Antoine)
Nicolas Bridet
Mathieu Genet
Raïssa Mariotti
Caroline Deruas
Rebecca Convenant
Marie Girardin
Cécile Garcia-Fogel
Marc Barbé
Nicolas Maury
Brigitte Sy
Nicolas Chupin
Martine Schambacher
Robert Bazil
Didier Sauvegrain
Philippe Lehembre
Pierre Belot
Michel Charrel
Georges Benoît
Eric Seigne
Jérôme Robart
Vladislav Galard
Félicien Juttner
Cédric Vieira
Anthony Paliotti
Alban Guyon

Bibliographie

Synopsis

François Dervieux a vingt ans en mai 68. Poète à ses heures perdues, il participe aux barricades, marchant avec sa bande au milieu des autres manifestants, lançant de temps en temps un pavé, une bombe lacrymogène esseulée, en direction de lointains CRS, se cachant derrière les carcasses de voitures retournées... Un soir, il est blessé à la main, puis coursé par un groupe de CRS à travers les rues, sous les porches, sur les toits, où il s'est caché en attendant de pouvoir rentrer se réfugier chez sa soeur. Il rêve aux révolutions précédentes, celle de 1789, de 1848, refait le monde avec ses amis, vit dans un présent permanent, squattant l'appartement d'un ami (héritage d'un père disparu), et fume de l'opium. Lors d'une fête, il rencontre Lilie, et en tombe amoureux. Elle est sculptrice et travaille dans un atelier de moulage pour gagner sa vie. Ils vivent en communauté, dans l'appartement de leur ami, et noient les désillusions de mai dans l'opium. Petit à petit, Lilie s'interroge sur son avenir et celui de leur couple, qui n'a pas même son propre toit. Quand son patron lui demande de poser pour lui, elle accepte. Et, lorsqu'il lui propose de le rejoindre aux États-Unis (où il a des ouvertures professionnelles et artistiques), bien qu'encore amoureuse de François, elle accepte à nouveau. François, noyant cet abandon dans la drogue, meurt dans son sommeil.
© LES FICHES DU CINEMA 2005
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