Tony Takitani (2004) Jun Ichikawa

Tony Takitani

Pays de productionJapon
Sortie en France25 janvier 2006
Procédé image35 mm - Couleur
Durée75 mn
DistributeurTamasa Distribution (source : ADRC)
>> Rechercher "Tony Takitani" dans le catalogue Ciné-Ressources
imprimer

Générique technique

RéalisateurJun Ichikawa
Auteur de l'oeuvre originaleHaruki Murakamid'après une nouvelle
Société de production Celluloid Dreams (Paris)
ProducteurMotoki Ishida
Producteur associéMichio Koshikawa
Producteur exécutifKeiko Yonezawa
Distributeur d'origine Celluloid Dreams (Paris)
Directeur de la photographieTaishi Hirokawa
MixeurYasuo Hashimoto
Compositeur de la musique originaleRyuichi Sakamoto
DécorateurShimako Takahashi
CostumierYoshikasu Ichida
MaquilleurYuki Hisamichi
MonteurTomoo Sanjo
ScriptMachiko Kondô

générique artistique

Issey Ogata(Tony Takitani/Takitani Shozaburo)
Rie Miyazawa(Konuma Eiko/Hisako)
Shinohara Takahumi(Tony Takitani, jeune)
Hidetoshi Nishijima(le narrateur)

Bibliographie

Synopsis

"Le vrai nom de Tony Takitani, c'était vraiment Tony Takitani". Fils d'un jazzman absent, Tony vit une enfance solitaire dont il ne se dépètrera pas véritablement. Lorsqu'il commence des études de graphiste, son talent pour la technique et les machines est remarqué. En dépit de sa discrétion, sa carrière suivra un cours ascendant. En tant qu'enseignant, il rencontre un jour Eiko, une étudiante. Elle le fascine toujours plus et acceptera de l'épouser. Tout va pour le mieux entre eux, mais Eiko a une obsession : l'achat frénétique de vêtements de marque, qu'elle stocke dans une grande pièce après ne les avoir que très peu portés. Tony tente de la raisonner, mais le jour où elle se résigne à rendre ses derniers achats, elle est troublée, perd le contrôle de son véhicule et meurt. Que reste-t-il à Tony ? De somptueux vêtements féminins... Il décide d'écrire une annonce pour trouver une assistante qui devra porter les "uniformes" de sa femme. Il choisit celle qui ressemble le plus à Eiko, mais abandonne finalement cette idée. Les vêtements sont vendus en gros. À la mort de son père, qu'il avait revu de temps à autre dans des clubs de jazz, Tony hérite cette fois-ci d'un saxophone et de vieux 78-tours. L'odeur de renfermé les lui fera revendre aussi, à un bon prix d'ailleurs, mais l'essentiel est surtout que Tony efface ainsi ces lourds souvenirs.
© LES FICHES DU CINEMA 2006
Logo

Exploitation