Générique technique

Réalisateur	Manoel de Oliveira
Assistant réalisateur	Bruno Sequeira
Assistant réalisateur	João Salomão
Scénariste	Manoel de Oliveira
Auteur de l'oeuvre originale	José Maria de Eça de Queiroz
Adaptateur	Manoel de Oliveira
Société de production	Filmes do Tejo (Lisboa)
Société de production	Eddie Saeta (Barcelona)
Société de production	Les Films de l'Après-Midi (Paris)
Coproduction	Filmes Lusomundo
Coproduction	RTP - Rádio Televisão Portuguesa (Lisboa)
Coproduction	Tobis Portuguesa (Lisboa)
Producteur	François d' Artemare
Producteur	Maria João Mayer
Producteur	Luis Miñarro
Producteur exécutif	Jacques Arhex
Directeur de production	Joao Montalverne
Distributeur d'origine	Epicentre Films (Paris)
Directeur de la photographie	Sabine Lancelin
Ingénieur du son	Henri Maïkoff
Décorateur	Christian Marti
Costumier	Adélaïde Maria Trêpa
Maquilleur	Ignasi Ruiz
Monteur	Catherine Krassovsky
Monteur	Manoel de Oliveira
Script	Júlia Buisel

générique artistique

Ricardo Trêpa	(Macario)
Catarina Wallenstein	(Luisa Vilaça)
Diogo Dória	(l'oncle de Macario)
Carlos Santos	(Caixeiro)
Filipe Vargas	(l'ami)
Júlia Buisel	(Dona Vilaça)
Leonor Silveira	(la femme du train)
Rogério Samora	(l'homme au chapeau de paille)
Luís Miguel Cintra	(dans son propre rôle)
Glória de Matos	(Madame Sande)
Miguel Guilherme	(Faleiro)
Paulo Matos	(l'inconnu)
Antonio Reis	(le doyen Savedra)
Miguel Seabra	(le notaire)
Luís Lima Barreto	(le juge)
Norberto Barroca	(Gaudêncio)
António Amblate	(le contrôleur)
João Cruz	(l'employé de Macario)
Antónia Boncheva	(l'employée de Macario)
Francisco Santos	(le barman)
Ana Paula Miranda	(l'harpiste)
Joaquim Custódia	(le voisin)
Paulo Bernardo	(l'acteur)
André Theotónio Pereira	(l'assistant de Faleiro)
Pedro Garcia	(le nouveau comptable)
Carlos Ferreira	(un employé)
Filipe Marques	(l'employé de la bijouterie)
Eduardo Martins
Luis Romão

Bibliographie

Périodiques

• 24 Images, n° 144, octobre-novembre 2009
• Amante Cine (El), n° 204, mai 2009
• Cahiers du Cinéma (Les), n° 648, septembre 2009
• Cineaste, vol. 35, n° 4, automne 2010
• Cinéaste, vol. 35, n° 4, septembre 2010
• Dirigido por..., n° 395, décembre 2009
• Film Quarterly, vol. 58, n° 4, été 2010
• Film Quarterly, vol. 63, n° 2, décembre 2009
• Film Quarterly, vol. 63, n° 2, hiver 2009-2010
• Film Quarterly, vol. 63, n° 4, juin 2010
• Filmmagie, n° 601, janvier 2010
• Fotogramas, n° 1985, mars 2009
• Fotogramas, n° 1994, décembre 2009
• Fotogramas, n° 1995, janvier 2010
• London Film Festival Catalogue, vol. 53, 14 octobre 2009
• Positif, n° 578, avril 2009
• Positif, n° 583, septembre 2009
• Segnocinema, vol. 31, n° 172, novembre-décembre 2011
• Sight and Sound, vol. 20, n° 9, septembre 2010
• Variety, 9 mars 2009

Synopsis

Dans un train, Macário raconte spontanément sa mésaventure sentimentale à une inconnue. Employé comme comptable à Lisbonne par son oncle Francisco, le jeune homme tombe amoureux d’une jeune fille blonde apparue à la fenêtre d’une maison en face de son bureau. Le coup de foudre est immédiat et, grâce à un ami, il parvient à la rencontrer dans un cercle littéraire animé par un mécène fortuné. Décidé à l’épouser, il en informe son oncle qui s’oppose fermement et sans raison au mariage. Devant l’entêtement du jeune homme, il le met à la porte. Macário décide de subvenir seul à ses besoins et de constituer un pécule pour être en mesure de demander la main de Luísa à sa mère. Mais Francisco a dissuadé ses relations professionnelles d’embaucher Macário. Basculant peu à peu dans la misère, celui-ci accepte la proposition d’un ami pour partir en mission au Cap Vert. C’est un succès et il s’enrichit. Mais l’ami était un escroc : Macário doit éponger les dettes de l’indélicat et repart à zéro. Dépité, il pense abandonner ses projets lorsqu’il reçoit l’accord soudain de son oncle. Le jeune couple peut enfin convoler mais, lors de l’achat de la bague de fiançailles, Macário découvre que Luísa est kleptomane et a subtilisé une bague dans la bijouterie. Il rompt subitement avec elle. Rentrée chez elle, la jeune femme s’effondre dans un fauteuil, tel un pantin désarticulé.
© LES FICHES DU CINEMA 2009