Bruegel. Mlyn i krzyz (2010) Lech Majewski

Bruegel, le moulin et la croix

Pays de productionPologne ; Suède
Sortie en France28 décembre 2011
Procédé image35 mm - Couleur
Durée91 mn
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Générique technique

RéalisateurLech Majewski
Assistant réalisateurKrzysztof Lukaszewicz
Assistant réalisateurDorota Lis
ScénaristeLech Majewski
ScénaristeMichael Francis GibsonD'après "The Mills and the Cross" de Michael Francis Gordon
Société de production Bokomotiv - Freddy Olsson Filmproduktion (Stockholm)
Société de production Supra Film (Katowice)
Coproduction Studio Filmowe Odeon (Warszawa)
Coproduction Silesia Film (Katowice)
Coproduction 24Media Film Production (Katowice)
Coproduction Arkana Studio (Warszawa)
Coproduction Piramida Film (Warszawa)
Coproduction Supra Film (Katowice)
ProducteurLech Majewski
CoproducteurFreddy Olsson
Producteur déléguéMalgorzata Domin
Producteur exécutifAngelus Silesius
Distributeur d'origine Sophie Dulac Distribution (Paris)
Directeur de la photographieLech Majewski
Directeur de la photographieAdam Sikora
Ingénieur du sonZbigniew Malecki
Compositeur de la musique originaleLech Majewski
Compositeur de la musique originaleJózef Skrzek
DécorateurKatarzyna Sobanska
DécorateurMarcel Slawinski
CostumierDorota Roqueplo
MonteurEliot Ems
MonteurNorbert Rudzik

générique artistique

Rutger Hauer(Pieter Bruegel)
Charlotte Rampling(Mary)
Michael York(Nichola Jonghelinck)
Joanna Litwin(Marijken Bruegel)
Dorota Lis(Saskia Jonghelinck)
Marian Makula(Miller)
Sylwia Szczerba(Netje)
Mateusz Machnik(Wheelfied)
Ruta Kubas(Esther)
Jan Wartak(Simon)
Sebastian Cichonski(Peddler)
Aneta Kiszczak(Mayken)
Pawel Kramarz(Pedro De Erazu)
Tadeusz Kwak(Rogier De Marke)
Andrzej Jastrzab(Scharmouille)
Bernadetta Cichon(l'épouse de Miller)
Jerzy Suchecki(Pitje)
Emilia Czartoryska(Beta)
Agata Kokosinska(Wero)
Tatiana Juszniewska(Magdali)
Dariusz Lorek(Josef)
Miroslaw Fuchs(Smith)
Stanislaw Futek(Waggoner)

Bibliographie

Synopsis

Pieter Bruegel, peintre déjà au faîte de sa maturité, se promène dans le décor et parmi les personnages de ce qui deviendra Le Portement de croix. Il modifie ici le pli d’un vêtement, là le drapé d’un voile. La scène est dominée par un moulin. On y pénètre à l’instant où le meunier et sa femme se réveillent. Leur commis, réveillé à son tour, monte au sommet du moulin pour en lancer les ailes. Un jeune couple d’amoureux se réveille tendrement et se prépare à sortir, avec le veau qui partage son logis. L’homme et la femme vont manger dans un pré. Mais bientôt survient la soldatesque espagnole, qui martyrise le jeune homme, le roue de coups puis le hisse sur une roue, face contre ciel. Les corbeaux viennent lui arracher les yeux. Sa femme, en bas, le pleurera jusqu’à ce qu’il soit descendu. Un noble, à sa fenêtre, voyant passer les soldats ivres de violence, se lamente auprès de sa femme de ce que le pays soit livré à la fureur. Au matin, Bruegel embrasse sa femme et sort de chez lui avec ses croquis, alors que ses jeunes enfants se réveillent et se mettent à chahuter dans leur chambre. Deux hommes sont extraits de leur geôle, après avoir embrassé une croix qu’on leur tend. Ils sont hissés dans une carriole qui les emporte sur les lieux de leur supplice. Dans le même temps un homme est flagellé, une couronne d’épines lui est enfoncée sur le crâne. Arrivé sur une étendue herbeuse, il est crucifié. De part et d’autre de sa croix, se trouvent celles des larrons.
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