Hori, ma panenko (1967) Milos Forman

Au feu, les pompiers !

Pays de productionTchécoslovaquie
Sortie en France17 mai 1968
DistributeurSplendor Films (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurMilos Forman
Assistant réalisateurJaroslav Papousek
ScénaristeMilos Forman
ScénaristeJaroslav Papousek
ScénaristeIvan Passer
Auteur de l'oeuvre originaleVáclav Sasek
Société de production Filmové Studio Barrandov
ProducteurRudolf Hajek
Directeur de productionVladimír Bor
Directeur de productionJirí Sebor
Directeur de la photographieMiroslav Ondrícek
Ingénieur du sonAdolf Bohm
Compositeur de la musique originaleKarel Mares
Directeur artistiqueKarel Cerny
DécorateurVladimir Macha
CostumierZdena Snajdarová
MaquilleurRudolf Hammer
MonteurMiroslav Hájek
Photographe de plateauJaromir Komarek

générique artistique

Josef Kolb(Josef)
Stanislav Holubec(Karel)
Josef Kutálek(Ludva)
Antonin Blazejovsky(Standa)
Hana Hanusová(Jarka)
Milada Jezková(la femme de Josef)
Jan Stöckl(le chef des pompiers retraité)
Frantisek Svet(le vieil homme)
Jan Vostrcil(le chef du comité)
Josef Sebanek(un membre du comité)
Josef Valnoha(un membre du comité)
Frantisek Debelka(un membre du comité)
Vratislav Cermák(un membre du comité)
Josef Rehorek(un membre du comité)
Václav Novotný(un membre du comité)
Frantisek Reinstein(un membre du comité)
Frantisek Paska(un membre du comité)
Ladislav Adam(un membre du comité)
Alena Kvetová(une miss)
Anna Liepoldová(une miss)
Miluse Zelená(une miss)
Marie Slivova(une miss)
Stanislav Ditrich
Jarmila Kucharová
Jirí Líbal
Vlastimila Vlková

Bibliographie

Périodiques

Synopsis

Dans une petite localité provinciale, les pompiers préparent leur bal annuel au cours duquel sera remis à leur président honoraire, symbole de sa fonction et de la reconnaissance des citoyens, une hache d'or. Mais l'organisation de la fête est laborieuse, on se chamaille pour des futilités et ces querelles mesquines multiplient les incidents qui frôlent le tragique. Le programme de la soirée comporte, outre le remerciement au doyen, l'élection d'une « Miss Pompier » et le tirage d'une tombola. Le bal s'ouvre enfin, la salle est comble de villageois sur leur trente et un, mais le comité responsable des festivités s'arrache les cheveux : les lots en nature de la tombola disparaissent malgré la surveillance ; on est obligé de recruter quasiment de force, dans la plus grande confusion, des candidates-reines de beauté et, pour comble de malheur, un incendie se déclare au village, vidant la salle des fêtes et laissant sans ressources dans la neige le malheureux sinistré. Le bal reprend, une collecte des blllets de tombola est faite au profit du sans-logis mais tous les lots ont maintenant disparu. Disparaissent aussi, prises de panique au dernier moment, les concurrentes au titre de miss Pompier. Le Comité palabre à huis-clos et lorsqu'il rentre dans la salle, invités et musiciens sont partis : seul attend patiemment le vieux doyen, à qui l'on remet, avec un beau discours bien pompeux, l'écrin de la récompense. Mais il est vide.
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