Générique technique

Réalisateur	Marcel Carné
Assistant réalisateur	Paul Feyder
Assistant réalisateur	Antoine Jacquet
Scénariste	Paul Andréota
Scénariste	Marcel Carné
Auteur de l'oeuvre originale	Jean Laborde	d'après le roman "Les Assassins de l'ordre"
Dialoguiste	Paul Andréota
Société de production	Les Productions Belles Rives (Paris)
Société de production	West Film (Roma)
Producteur	Michel Ardan
Producteur associé	Italo Zingarelli
Directeur de production	Jean Kerchner
Distributeur d'origine	C.C.F.C. - Compagnie Commerciale Française Cinématographique (Paris)
Directeur de la photographie	Jean Badal
Cadreur	Robert Foucard
Cadreur	Georges Pastier
Ingénieur du son	René Longuet
Mixeur	Alex Pront
Compositeur de la musique préexistante	Pierre Henry	"Messe pour le temps présent" et "Le Voile d'Orphée"
Compositeur de la musique préexistante	Michel Colombier	"Messe pour le temps présent"
Décorateur	Rino Mondellini
Costumier	Jean Barthet	pour les robes
Monteur	Henri Rust
Script	Madeleine Santucci
Régisseur	Lionel de Sousa
Photographe de plateau	Paul Michelangeli

générique artistique

Jacques Brel	(le juge Bernard Level)
Catherine Rouvel	(Danielle Lebègue)
Paola Pitagora	(Laura)
Charles Denner	(Maître Graziani)
Didier Haudepin	(François Level)
Michael Lonsdale	(le commissaire Bertrand)
Roland Lesaffre	(Michel Saugeat)
Françoise Giret	(Geneviève Saugeat)
François Cadet	(l'inspecteur Edouard Rabut)
Serge Sauvion	(l'inspecteur Bonetti)
Boby Lapointe	(Louis Casso, le patron du café)
Jean-Roger Caussimon	(le commissaire Lagache)
Henri Nassiet	(le président du tribunal)
Harry-Max	(Moulard, le greffier)
Pierre Maguelon	(le gardien Lathuile)
Luc Ponette	(Maître Rivette)
Marius Laurey	(André Véricel, le cambrioleur)
Lucien Barjon	(Ernest Mauvoisins, le clochard)
Alain Nobis	(le président Duverger)
Jean Franval	(le docteur Sabatier)
Jacques Legras	(l'inspecteur au magasin d'antiquités)
René Lefèvre-Bel	(l'avocat général)
Luc Merenda	(Marco)
Jean Panisse	(le pompiste)
Katia Tchenko	(l'assistante de Maître Graziani)
Charles Bayard	(un assesseur)
Jean Gold	(un assesseur)
Marc Arian	(un journaliste au procès)
Roland Malet	(un garde à l'audience)
Marius Gaidon	(un gendarme à l'audience)
Raymond Pierson	(un gendarme à l'audience)
Maurice Favières	(le journaliste TV)

Bibliographie

Ouvrages

• La vie à belles dents : souvenirs / Marcel Carné. - Paris : J.P. Ollivier, 1975

Périodiques

• Cahiers de la cinémathèque (Les), n° 5, hiver 1972
• Ciné revue, n° 05, 17 décembre 1970
• Ciné revue, n° 14, 8 avril 1971
• Cinema (Roumanie), vol. 12, n° 8, août 1974
• Cinema (Roumanie), vol. 12, n° 9, septembre 1974
• Ekran, n° 100-103, 1972-73
• Film Francais (Le), n° 1365, 27 novembre 1970
• Film Français (Le), n° 1398, 2 juillet 1971
• Positif, n° 131, octobre 1971
• Revue du Cinema International (La), n° 17, mai 1971
• Technique cinématographique (La), n° 325, février 1971
• Unifrance Film - La Production Cinématographique Française, n° 85, mars 1973
• Variety, 16 juin 1971

Synopsis

Bernard Level, juge dans une petite ville de province, se voit confier l'instruction d'une affaire délicate : à l'issue d'un interrogatoire très violent effectué par deux policiers, un suspect est décédé. Il ne fait pratiquement aucun doute que sa mort est due au « passage à tabac » qu'il a subi. Evidemment, le commissaire « couvre » ses deux policiers et convoque deux prisonniers présents dans les locaux lors de l'interrogatoire. Les deux hommes, à qui on a fait la leçon, affirment qu'ils n'ont rien entendu. Mais Level réussit à retrouver un troisième témoin, une prostituée, qui déclare avoir entendu des cris et des gémissements et avoir vu le suspect en sang.Le commissaire et ses deux adjoints sont maintenant officiellement inculpés. Dès lors, Level est l'objet d'une série de pressions et de chantages pour qu'il cesse son enquête, Son fils, arrêté dans une manifestation, est faussement accusé de détention de drogue. La fiancée du juge, qu'il doit bientôt épouser, est accusée de recel d'objets volés. Arrive le jour du procès : l'avocat de la défense, une vedette du barreau, saura prouver que le témoignage de la prostituée est inspiré par la vengeance. Les trois accusés sont acquittés. Level a perdu, mais il estime que son combat n'a pas été tout à fait vain. Un minuscule pas vers la justice, c'est déjà mieux que rien. !
© Les fiches du cinéma 2001