La Lumière des étoiles mortes (1993) Charles Matton

Pays de productionFrance ; République fédérale d'Allemagne
Sortie en France12 janvier 1994
Durée110 mn
DistributeurPyramide (source : ADRC)
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Générique technique

RéalisateurCharles Matton
Assistant réalisateurNadine Chaussonière
ScénaristeCharles Matton
DialoguisteCharles Matton
DialoguisteSylvie Matton
Société de production NRW - Filmstiftung Nordrhein-Westfalen (Düsseldorf)
Société de production Petit Paris Film Produktion GmbH (Bottrop-Kirchhellen)
Société de production FFA - Filmförderungsanstalt (Berlin)
Société de production Ognon Pictures (Paris)
Société de production La Sept Cinéma
Société de production Varuna Productions (Paris)
Société de production Canal+
Société de production Factory Entertainment GmbH (Geiselgasteig)
ProducteurGloria Burkert
ProducteurAndreas Bareiss
Producteur déléguéHumbert Balsan
Distributeur d'origine Les Acacias Ciné Audience (Paris)
Directeur de la photographieJean-Jacques Flori
Ingénieur du sonDominique Vieillard
Compositeur de la musique originaleNicolas Matton
DécorateurPierre Sicre
CostumierIsabelle Blanc
CostumierNathalie Raoul
MonteurCatherine Poitevin

générique artistique

Jean-François Balmer(Pierre)
Caroline Sihol(Magdeleine)
Richard Bohringer(Beyerath)
Léonard Matton(Charles)
Thomas Huber(Karl)
Cécile Vassort(Louise)
Magali Leiris(Mademoiselle)
Béatrice Avoine(Léa)
Burghart Klaussner
Dieter Kirchlechner
András Fricsay Kali Son
Hanns-Jörg Krumpholz
Pascale Lecussan
Emma Wallard
Tristan Calvez
Sylvie Matton
Yann Metzger

Bibliographie

Synopsis

Cette histoire est mon histoire, et si elle se dit en contradiction avec l'Histoire, elle n'en est pas moins vivante dans ma mémoire, radieuse au coeur de l'abomination, fraternelle contre toute haine. La poésie et le charme d'une demeure aux fastes surannés dans une ville d'eau oubliée flatte mon âme d'artiste et supporte mes rêves. La guerre vient toutefois nous rejoindre, mais si douce, que le mot guerre en perd son sens. 1942, j'avais 9 ans, les forces d'occupation s'installent chez nous, cohabitation hasardeuse qui se révèle idyllique. Du vieux colonel, philosophe égaré dans la gent meurtrière, au lieutenant Karl qui devient mon confident et mon ami, ou encore ce soldat qui comble dans la tendresse les désirs de Louise, notre bonne, rien que de paisible. Seul Krantz, nazillon haineux, martyrise nos voisins juifs et incendie leur demeure, répondant enfin à ce que l'on attendait de l'Allemand abhorré. Mais la guerre, nous dit-on, s'étend vers l'est, et tout ce petit monde va à sa rencontre. Stalingrad, et la mort, le silence et la peur, 1945 et la "libération" changent bien peu ce que je connaissais et aujourd'hui encore, si je tente de revivre avec vous ce passé que Karl me disait ne pouvoir être menacé, je ne fais que montrer ce qu'alors, heureux, j'ai vécu... (propos de Charles Matton)
Copyright, 1995 CMC/Les Fiches du Cinéma
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Exploitation

Nombre total d'entrées en fin d'exclusivité (Paris)16696
Nombre de salles de sortie (Paris)3
Nombre de semaines d'exclusivité (Paris)8
Nombre d'entrée première semaine (Paris)4959
Nombre total d'entrée en fin d'exclusivité (France)34896